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Hornet, le Tor ² ?

Posté par Arnaud Pelletier le 17 décembre 2015

vie privéeDes chercheurs britanniques et suisses viennent de mettre au jour un projet de réseau Internet qui se veut aussi anonyme que le célèbre Tor mais beaucoup plus rapide.

Voilà un projet qui risque fort de faire grincer des dents les défenseurs de la Loi sur le renseignement votée au Parlement le 24 juin 2015 et validée en grande partie par le Conseil constitutionnel jeudi 23 juillet. Nom de code : Hornet. Ce nouveau réseau Internet dévoilé par cinq chercheurs de l’Institut fédéral de technologie de Zurich et de l’University College de Londres promet d’offrir une navigation anonyme, sécurisée et aussi rapide qu’une connexion très haut débit.

[…]

Par ROMAIN DURIEZ pour lesechos.fr

En savoir plus :

Source http://www.lesechos.fr/29/07/2015/lesechos.fr/021235566689_hornet–le-nouveau-reseau-internet-anonyme.htm

Crédit Photo : Shutterstock

Vidéo : Quand nos amis Belges font du renseignement …

Posté par Arnaud Pelletier le 6 juillet 2012

Gros plan sur l’espionnage en Belgique.

 

 

  • 731 interventions des services pour la sureté de l’état ont eu lieu en 2011. Le métier d’agent secret demande de l’observation et de la compréhension des menaces.

Par RTL TV Belgique sur www.rtl.be

En savoir plus :

source http://www.rtl.be/videos/video/403404.aspx

Recherches web d’informations sur les personnes …

Posté par Arnaud Pelletier le 20 juin 2012

Qu’on le veuille ou non, la recherche d’informations sur les personnes est une des activités les plus prisées du Web, que ce soit pour se tenir au courant des informations disponibles en ligne sur soi-même ou en savoir plus sur un contact ou un recruteur voire pour des recherches en généalogie.

A lire sur netpublic.fr :

Un nouveau dossier complet de 13 pages (pdf) est proposé sur ce thème en téléchargement gratuit : Recherche d’informations sur les personnes avec un article introductif. Pour savoir quelles traces on peut laisser sur Internet et agir en conséquence, le document dresse un panorama des outils Internet (pour la plupart en accès libre) permettant d’effectuer ce type de recherche. En préambule de ce document, il est rappelé un point de droit sur le respect de la vie privée en France. Ce guide est proposé par Pôle Documentation, un réseau dédié à l’aide à la recherche d’emploi pour les professionnels de l’information-communication lancé en 2005 par Adeline Lory.

[…]

Télécharger le document :

« Identité numérique : Recherche d’informations sur des personnes  »

[…]

Par Adeline LORY et posté par Jean-Luc Raymond pour netpublic.fr

En savoir plus :

source http://www.netpublic.fr/2012/06/recherche-d-informations-sur-les-personnes-dossier/

Suisse : Areva n’est pas la seule entreprise française à recourir à cette spécialité helvète: le renseignement économique. Une activité plus que tolérée.

 

A lire sur challenges.fr :

Coincée entre une boulangerie et un magasin de meubles pour cuisines et salles de bains, l’entrée de l’immeuble ne paie pas de mine. C’est pourtant ici, dans une rue anonyme de Genève, que se trouvent les bureaux d’Alp Services. Cette société a fait les gros titres de la presse pour avoir espionné Olivier Fric, le mari de l’ancienne patronne d’Areva, Anne Lauvergeon. Cette PME de 20 personnes dirigée par Mario Brero a été mandatée par Areva pour quatre enquêtes (baptisées de « Pomerol 1 » à « Pomerol 4 »), liées au rachat du groupe canadien UraMin par le leader mondial du nucléaire en 2007.

  • Affaire anodine

Ses deux premiers dossiers étaient assez classiques: les enquêteurs d’Alp Services devaient étudier le marché de l’uranium et comprendre le rôle de deux sociétés américaines, UX Consulting et TradeTech, dans l’évolution du cours du minerai. Ils devaient aussi découvrir si des salariés d’ Areva donnaient des renseignements à Greenpeace.

[…]

« L’affaire Areva ne représente que la partie émergée de l’iceberg, prévient Stéphane Koch, patron d’Intelligentzia.net, une agence genevoise spécialisée dans la sécurité de l’information. Dans les affaires éminemment sensibles, les entreprises françaises font souvent appel à des officines suisses, craignant, en France, une certaine porosité des spécialistes de l’intelligence économique avec les services officiels. »

  • Procédure courante

Areva ne serait pas le seul dans ce cas. « Il est courant de voir les grandes sociétés faire appel à des bureaux privés suisses pour étudier le profil et la carrière de candidats lors de phases délicates de recrutement », estime un consultant spécialisé dans la lutte contre la criminalité économique. Areva n’est, en tout cas, pas la première à impliquer des sociétés suisses de renseignement. En 2010, un ancien policier a ainsi avoué avoir posé à deux reprises une balise GPS sur la voiture d’un homme d’affaires grec.

Deux ans plus tôt, l’émission Temps présent révélait que l’agence Securitas avait infiltré en 2004 une de ses salariées au sein du mouvement altermondialiste Attac pour le compte de Nestlé. Son enquêtrice avait même participé à l’écriture d’un livre intitulé Attac contre l’empire Nestlé. Mais cette fausse militante dévoila à son client toutes les informations découvertes par les altermondialistes… Interrogé par la télévision suisse romande, le porte-parole de Securitas a jugé cette « mission banale ».

[…]

  • Législation légère

« La Suisse a toujours été un lieu de rendez-vous des espions du monde entier, raconte Jean Tamalet, avocat du cabinet Tamalet Ingouf Hollard. Il y a plus d’agents secrets à Genève qu’à Paris. » Les 30.000 personnes qui bénéficient du statut diplomatique dans la nébuleuse de l’ONU, les salariés des multiples ONG ou des sièges de grands groupes comme Nestlé, Roche ou Novartis attirent forcément les regards. L’importance du négoce avec notamment les bureaux de Cargill ou Glencore explique aussi les convoitises. Les trois quarts des ventes de pétrole russe, par exemple, se traitent à Genève.

La Suisse offre aussi l’avantage d’une législation peu contraignante pour les « hommes de l’ombre ». « Lorsque j’ai lancé ma société d ‘intelligence économique, je n’ai même pas eu à présenter mon casier judiciaire, raconte Stéphane Koch. L’usurpation d’identité n’est pas permise, mais elle n’est pas non plus punie. » Cette pratique a permis à Nestlé de sortir blanchi des procès lancés par Attac.

[…]

Tout ou presque est donc possible. C’est une question de prix… « Moi, je reste dans la légalité et je demande en moyenne 2.000 euros pour une journée de travail », dévoile Stéphane Koch. Quand des moyens techniques sophistiqués sont nécessaires ou que les méthodes utilisées franchissent « la ligne jaune », comme disent les spécialistes, les tarifs s’envolent vite. Areva aurait ainsi versé à Alp Services 620.000 euros pour ses quatre rapports qui n’ont rien révélé.

  • Niche prospère

Berne promet de mieux contrôler ce secteur, mais personne n’est dupe. Le laisser-faire politique, la concurrence de plus en plus vive qui encourage les sociétés à découvrir les avancées technologiques de leurs rivales et la baisse constante des prix des moyens de surveillance promettent de beaux jours aux barbouzes suisses. « Le nombre de spécialistes de l’espionnage économique continuera de s’accroître dans la Confédération, prédit Marie-Laure Ingouf. C’est une niche incroyable. » Voilà les entreprises françaises prévenues.

Par Frédéric Thérin pour challenges.fr

En savoir plus :

Source http://www.challenges.fr/entreprise/20120509.CHA6214/la-verite-sur-les-officines-suisses-d-espionnage.html

Service de renseignement, police et Internet …

Posté par Arnaud Pelletier le 18 avril 2012

« Les gens qu’on arrête, c’est grâce à Internet »

 

« Les gens qu’on arrête, dans la plupart de nos dossiers, c’est grâce à Internet. Si jamais on les empêche d’aller sur Internet, on risque d’avoir du mal à les détecter. »

 

A lire sur bugbrother.blog.lemonde.fr :

Marc Trévidic est juge d’instruction au pôle antiterroriste du TGI de Paris, président de l’Association française des magistrats instructeurs (AFMI). Auditionné au Sénat par la Commission pour le contrôle de l’application des lois, Marc Trévidic n’a pas explicitement dénoncé l’inanité du projet de loi « renforçant la prévention et la répression du terrorisme« , visant notamment à pénaliser la consultation « habituelle » de sites pro-terroristes, se bornant à expliquer ce pour quoi ce type de prohibition ne servirait à rien voire, pis, rendrait encore plus difficile l’identification des personnes tentées par le terrorisme.

  • Un faits divers = une loi

Quelques heures seulement après l’assaut du RAID, et la mort de Mohamed Merah, Nicolas Sarkozy annonçait que le fait de visiter des sites internet promouvant une idéologie terroriste serait pénalisé. Le Canard Enchaîné a depuis révélé que les écoutes téléphoniques et la surveillance de la ligne Internet de Merah n’avaient rien révélé de suspect, c’est pas grave : un fait divers = une loi, il était urgent de communiquer.

« La DCRI a demandé une vingtaine de fois et a obtenu de Matignon que les conversations téléphoniques et les connexions Internet des membres du clan Merah soient placées sous surveillance. Pourtant, en novembre 2011, “à la demande de la DCRI” elle-même, ces écoutes ont été interrompues »

[…]

  • « On peut déjà tout faire ! »

La DCRI et la DGSE, les deux services de renseignement français chargés (notamment) de la lutte contre le terrorisme, ne se prononceront jamais officiellement à ce sujet. Marc Trévidic, lui, l’a fait. Et ses propos tranchent pour le moins avec ce que Nicolas Sarkozy veut faire passer au Parlement :

« Je suis aussi obligé de dire qu’on ne peut pas vraiment avoir beaucoup plus de pouvoirs qu’on en a : on peut à peu près tout faire en terme de pouvoirs d’investigation.

Un juge d’instruction antiterroriste peut sonoriser un appartement, une voiture, faire des écoutes téléphoniques, renouvelées tous les 4 mois, il peut très bien écouter des gens pendant 3 ans si ça lui chante, il fait des perquisitions où il veut quand il veut, peut mettre quelqu’un pendant 4 jours en garde à vue, voire 6 dans certaines conditions particulières…

La loi LOPPSI 2 nous permet d’envoyer des espions dans les ordinateurs pour suivre en direct tout ce qu’il s’y passe… ce sont vraiment des pouvoirs d’investigation qui sont maximum. Je ne vois pas ce que l’on pourrait donner d’autres comme pouvoirs que nous n’ayons déjà. « 

  • A quoi servent les policiers antiterroristes ?

[…]

Des services spécialisés dans la lutte antiterroriste sont très très employés à des tâches qui ne sont pas forcément du terrorisme. Dès qu’il y a un mail de menace, dès qu’il y a le moindre évènement, la moindre alerte à la bombe, on fait systématiquement appel à ces services spécialisés, qui passe leur temps à ça, et ils ont très peu de temps à consacrer aux vrais dossiers terroristes… »

  • Si jamais on les empêche d’aller sur Internet…

Après avoir rappelé que le Parlement a d’ores et déjà adopté une quinzaine de lois pour lutter contre le terrorisme, David Assouline, le président de la commission sénatoriale pour le contrôle de l’application des lois, a interrogé Marc Trévidic sur « ceux qui disent que la prévention doit aussi passer par la répression et la pénalisation, à l’image de la pédopornographie, de la possibilité de consulter sur Internet« , Marc Trévidic explique que ce serait non seulement contre-productif, mais également compliqué :

[…]

Par Jean Marc Manach pour bugbrother.blog.lemonde.fr

En savoir plus :

source http://bugbrother.blog.lemonde.fr/2012/04/12/les-gens-quon-arrete-cest-grace-a-internet/#xtor=RSS-32280322

 

Renseignement et intelligence économique …

Posté par Arnaud Pelletier le 8 février 2012

Au sein du ministère de la Défense, le renseignement se compose de trois acteurs majeurs concentrant toutes les thématiques de renseignement : la DRM, la DGSE, la DPSD.

  • L’organisme interarmées du renseignement d’intérêt militaire : la DRM

Organisme interarmées, la Direction du renseignement militaire relève du Chef d’état-major des armées (CEMA). Celui-ci assure la direction générale de la recherche et de l’exploitation du renseignement militaire.

  • Le service majeur du renseignement à l’étranger : la DGSE

La Direction Générale de la Sécurité Extérieure (DGSE) a pour objectif d’assurer la réussite des intérêts français dans le monde. Effectivement, son champ d’action se situe hors des frontières, où elle applique des méthodes clandestines de recherche.

  • Renseigner pour protéger : la DPSD

La Direction de la Protection et de la Sécurité de la Défense (DPSD) est le service de renseignement à disposition du ministre de la Défense et des anciens combattants. Elle assure la sécurité du personnel, des informations, du matériel et des installations sensibles. Ces quatre éléments sont les piliers des capacités opérationnelles de la défense nationale.

Elle s’occupe entre autre de la La sécurité économique :

La DPSD doit s’assurer de la protection du secret confié aux entreprises. Elle contribue aussi à la préservation du patrimoine scientifique et technique de défense.
La DPSD travaille ainsi avec environ 2000 sociétés liées avec le ministère de la défense et des anciens combattants.

Par son action dans le domaine de la sécurité économique (sécurité industrielle et contre-ingérence) la DPSD est un acteur reconnu de la politique publique d’intelligence économique animée par le délégué interministeriel à l’intelligence économique ( DIIE).

source http://www.defense.gouv.fr/dpsd/missions/securite-economique/securite-economique

En savoir plus :

Par le ministère de la Défense pour defense.gouv.fr

source http://www.defense.gouv.fr/jeunes/jeuneactu/les-acteurs-du-renseignement

Renault : l’affaire d’espionnage industriel tourne court …

Posté par Arnaud Pelletier le 25 février 2011

Tout en annonçant un audit sur « la sécurité du groupe », Carlos Ghosn tente de changer de sujet et défend désormais les bons résultats de l’entreprise.

L’affaire d’espionnage industriel chez Renault tourne au vaudeville. Carlos Ghosn attendait des preuves, ce sont en fait des démentis qui lui parviennent. Alors que les accusations portées contre trois cadres de l’entreprise s’effondrent, le patron de Renault a demandé jeudi 24 février un audit interne des systèmes d’informations et de sécurité du groupe automobile français.

[…]

  • Les trois cadres clament leur innocence

Depuis le début de l’affaire, les trois cadres clament leur innocence et les premiers éléments obtenus tendent à leur donner raison. Selon le Canard Enchaîné, l’enquête préliminaire de la Direction centrale du renseignement intérieur (DCRI) montre que la direction du constructeur automobile s’est laissée emportée sur de fausses pistes.

[…]

  • Pas de trace de compte bancaire

La piste du Liechtenstein semble, elle aussi, conduire à une impasse. Renault a accusé Michel Balthazard, membre du comité de direction, d’avoir reçu 550.000 euros versés par les Chinois sur un compte secret à la banque princière LGT. La banque a indiqué ne pas être au courant d’une demande de renseignement de la part des autorités françaises. Une source proche du dossier avait cependant précisé ne pas avoir trouvé de compte bancaire ou de fondation au nom des trois cadres licenciés de Renault.

[…]

  • Plainte contre X de Renault

L’affaire a éclaté début 2011 avec la mise à pied puis le licenciement des trois cadres haut placés, à la suite d’une enquête interne consécutive à l’envoi de courriers anonymes.
Selon RTL, l’un de ces courriers vise Michel Balthazard, qui était membre du comité de direction de Renault. L’auteur de cette lettre assure avoir été témoin de conversations lors desquelles Michel Balthazard aurait évoqué des détails du programme de Formule 1 de Renault et sur la conception des monoplaces. Il n’aurait livré aucun secret sur la voiture électrique, selon la radio.

[…]

Pas L. M. – Nouvelobs.com

En savoir plus :

http://tempsreel.nouvelobs.com/actualite/economie/20110224.OBS8617/renault-l-affaire-d-espionnage-industriel-tourne-court.html

Le retour de Kroll …

Posté par Arnaud Pelletier le 2 septembre 2010

L’ancien magistrat américain Jules Kroll, devenu détective privé est le pape de ce qu’on appelle l’intelligence économique. Informations confidentielles, manœuvres de déstabilisation, il a participé de façon très active et discrète à nombre d’opérations financières. En France, il a par exemple donné un sérieux coup de main à Bernard Arnault lorsqu’il a pris le contrôle de LVMH. Au fil des ans, sa société est devenu une petite multinationale qu’il a revendu pour près de 2 milliards de dollars.

Et voilà qu’à 69 ans, Kroll débute une nouvelle carrière avec une idée simple : offrir une « alternative crédible » aux géants de notations de crédit …

[…]

Pierre-Henri de Menthon

En savoir plus :

http://coulisses.blogs.challenges.fr/archive/2010/09/02/le-retour-de-jules-kroll.html

Un seul salaire pour quatre spécialités, c’est un bel exemple de maîtrise des finances publiques que donne Bernard Bajolet en recrutant Lorraine Tournyol du Clos.

Peu à peu, l’équipe du Coordonnateur national du renseignement s’étoffe. Bernard Bajolet vient de recruter deux nouveaux collaborateurs qui vont le rejoindre à l’Elysée. La nomination de Lorraine Tournyol du Clos, annoncée au Journal officiel de ce mardi 15 décembre 2009, est plutôt surprenante en ce qu’elle ouvre de nombreuses perspectives. Cette jeune femme de 36 ans, elle est née en 1973, est d’une part une spécialiste de l’intelligence économique et des risques et menaces en entreprise. Docteur en économie, elle a travaillé comme chargé d’étude à l’Institut national des hautes études de la sécurité (INHES), le think tank du ministère de l’Intérieur à « l’animation territoriale des activités d’Intelligence économique », « la veille et rédaction d’une lettre mensuelle d’information d’Intelligence économique » et la « gestion des contacts avec les principaux acteurs de l’Intelligence économique (Instituts et entreprises) ».

Mais, Lorraine Tournyol du Clos s’est également penchée sur l’analyse du terrorisme, elle a été chercheur associé au centre d’excellence START/University of Maryland (Etats-Unis). Et pour compléter le portrait de ce mouton a cinq pattes, la nouvelle collaboratrice de Bajolet est également spécialiste de l’analyse de la délinquance. Elle a notamment travaillé à l’Observatoire national de la délinquance.

Mais n’est ce pas son dernier poste qui pourrait intéresser Bajolet ? Lorraine Tournyol du Clos, au ministère de l’intérieur, devait prévoir à l’avance les menaces à l’aide notamment de modélisations. Quel va donc être son rôle exact Chez Bajolet ?

En revanche, la question ne se pose pas, ou peu pour la deuxième recrue, Jérôme Poirot, dont la nomination dans l’équipe du Coordonnateur a été annoncée au JO du 2 décembre. Cet énarque a été spécialiste des questions budgétaires au cabinet de Rachida Dati, alors Garde des sceaux. Il devrait suivre les mêmes dossiers chez Bajolet, alors que les questions budgétaires sont devenues centrales dans le monde du renseignement en raison des coûts désormais exorbitants des matériels et des personnels …

Pascal Junghans

En savoir plus :

http://www.latribune.fr/blogs/le-blog-intelligence-economique-de-pascal-junghans/20091215trib000453273/une-specialiste-multi-fonctions-aupres-du-coordonnateur-du-renseignement.html

L’objectif de ce blog créé en 2006, qui n’est pas à proprement parler un blog puisque je ne donne que très peu mon avis, est d’extraire de mes veilles web informationnelles quotidiennes, un article, un billet qui me parait intéressant et éclairant sur des sujets se rapportant directement ou indirectement à la gestion de l’information stratégique des entreprises et des particuliers.
Depuis fin 2009, je m’efforce que la forme des publications soit toujours la même ; un titre, éventuellement une image, un ou des extrait(s) pour appréhender le sujet et l’idée, l’auteur quand il est identifiable et la source en lien hypertexte vers le texte d’origine afin de compléter la lecture.
En 2012, pour gagner en précision et efficacité, toujours dans l’esprit d’une revue de presse (de web), les textes évoluent, ils seront plus courts et concis avec uniquement l’idée principale.
En 2022, les publications sont faite via mon compte de veilles en ligne : http://veilles.arnaudpelletier.com/
Bonne découverte à tous …


Arnaud Pelletier

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