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Comment travaillent les détectives privés américains ?

Posté par Arnaud Pelletier le 14 juin 2011

Emmanuelle Welch est détective privée à Washington pour l’agence de recherche French Connection Research. Cette Française raconte la manière dont les «private investigators» travaillent aux Etats-Unis et analyse les moyens déployés autour de l’affaire DSK.

Quelles sont les différences entre le métier de détective privé aux Etats-Unis et en France?

Aux Etats-Unis, l’emploi de détectives par les avocats dans des contre-enquêtes pénales, par exemple, est complètement répandu. Certains avocats ont même un ou plusieurs détectives salariés dans leur cabinet. Même les avocats commis d’office par les tribunaux, les «public defender», peuvent avoir recours à des détectives privés, à des taux horaires plafonnés.

[…]

Combien y en-a-t-il aux Etats-Unis? Comment sont-ils organisés ?

Selon les statistiques du gouvernement américain, il y a environ 50.000 détectives privés aux Etats-Unis et leur nombre augmente régulièrement.

Ceci est dû aux inquiétudes sécuritaires de l’après 11-Septembre, à la montée du nombre d’actions en justice et de la cybercriminalité, notamment des nouvelles atteintes à la vie privée genre cyberstalking. Mais le chiffre réel est difficile à évaluer car certains Etats ne requièrent pas de licence professionnelle.

[…]

Sur quels types d’affaires interviennent-ils majoritairement?

En général, les détectives préfèrent travailler pour de gros clients réguliers, des cabinets d’avocats, des compagnies d’assurances, etc. Mais tout dépend de l’Etat dans lequel ils se trouvent: en Californie, par exemple, où les accidents du travail sont généreusement indemnisés, de nombreux détectives se spécialisent dans ce genre de fraude.

[…]

Quel est leur rôle? Jusqu’où peuvent-ils aller?

Leur rôle est de rassembler les informations et de les présenter au client qui, lui, décidera ce qu’il veut en faire.

Sur l’affaire DSK par exemple, les détectives employés par Brafman et Taylor sont à la recherche de toutes les informations susceptibles de décrédibiliser le témoignage de la victime présumée. Elle n’était pas du genre a s’épancher sur le Web et n’a laissé pratiquement aucune trace dans les bases de données. Les «private investigators» sont en train de parcourir les quartiers où elle a vécu depuis son arrivée aux USA, de parler à d’anciens collègues, d’anciens voisins pour faire une enquête de «caractère». Était-elle une bonne locataire? Sérieuse au travail? Quelles étaient ses mœurs? Prenait-elle des drogues? Avait-elle des dettes? S’était-elle déclarée en faillite personnelle et serait donc à court d’argent? Ses papiers étaient–ils en règle ou a-t-elle menti en remplissant sa demande de visa ou de carte verte?

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Sur l’affaire DSK, que peuvent-ils apporter? Est-ce que l’accusation les craint vraiment?

Dans l’affaire DSK, l’accusé a des ressources illimitées, mais le procureur général est également déterminé a remporter ce procès. Des moyens exceptionnels sont déployés des deux côtés.

Internet a-t-il considérablement modifié la façon d’enquêter?

La quantité d’information que les gens dévoilent volontairement sur le Web est vertigineuse. C’est formidable pour nous, car, en parallèle, et c’est ironique, les lois de protection de la vie privée aux USA limitent de plus en plus les détectives dans leur accès à certaines données. Dans certains Etats, il est devenu difficile d’identifier le propriétaire d’un véhicule sur la base de sa plaque d’immatriculation. Au niveau fédéral, il est illégal de se faire passer pour quelqu’un auprès d’une banque pour obtenir des informations financières et depuis 2007, de se faire passer pour un abonné de compagnie téléphonique pour obtenir des informations confidentielles sur sa facture, par exemple.

[…]

Quelles étaient vos dernières affaires?

Rien à voir avec du pénal: je devais retrouver les héritiers d’une violoniste américaine gauchère afin que mon client, lui même gaucher, propose de leur racheter un instrument.

[…]

Les détectives privés sont des personnages récurrents des séries et films américains, est-ce que les clichés qui s’y attachent pèsent dans les relations quotidiennes?

[…]

Par Quentin Girard pour liberation.fr

En savoir plus :

http://www.liberation.fr/monde/01012342414-comment-travaillent-les-detectives-prives-americains

BFM TV – rôles des détectives privés dans l’affaire DSK …

Posté par Arnaud Pelletier le 23 mai 2011

Interview, sur BFM TV en direct, d’Arnaud PELLETIER, directeur de l’agence Leprivé, sur le rôle des détectives aux État-Unis dans le cadre de l’affaire DSK.

BFM Story – émission en direct présentée par Alain Marchall & Olivier truchot.

Apparue en Janvier 2010, l’émission se veut centrée autour d’un ou deux fait qui marquent l’actualité du jour, qui en font la une.
Cette émission voit généralement accueillir de nombreux spécialistes en compagnie des deux animateurs, la tranche étant coupé à la demi-heure par un bref journal.

Source : BFM TV

Le sort de Dominique Strauss-Kahn s’est un peu amélioré jeudi soir: il a été remis en liberté conditionnelle. Mais, il a surtout été inculpé des 7 chefs d’accusation retenus contre lui. Cela veut dire qu’il va y avoir une nouvelle audience le 6 juin, le début du procès. Pendant ce temps là; les avocats du patron du FMI sont en train de mettre au point sa stratégie de défense Et pour leur venir en aide, ils ont embauché plusieurs détectives privés. La routine aux USA.

Mais quel peut bien être leur rôle?

Faire face aux coups de théâtre.

Jusqu’au jour du procès, le procureur va fournir très peu d’éléments aux avocats. Il faut donc prévoir les « coups » que peut porter le procureur.

Matthew J. Galluzzo, avocat pénaliste, explique à France 3 : « Parfois le procureur trouve un excellent témoin, à la dernière minute, un témoin dont la défense n’a jamais entendu parler. Il arrive au procès, il témoigne, et ca créée de gros dégâts. Ca peut être une énorme surprise pour la défense. Quand on a un témoin surprise comme ca, la défense a intérêt à être préparée. »

Comment travaillent ces détectives privés?

France 3 est allé rendre visite à un détective privé, Vincent « Vinny » Parco, qui a déjà travaillé sur des histoires similaires à celle de Dominique Strauss-Kahn. Il explique ce que lui ferait : « La première chose que je ferai, c’est trouver qui est cette femme. Bon, elle est mise au secret, loin de la presse, de tout le monde, mais on peut trouver » dit-il.

[…]
Par France 3 publié sur lepost.fr

En savoir plus :

http://www.lepost.fr/article/2011/05/19/2500404_affaire-dsk-quel-role-peuvent-avoir-les-detectives-prives-embauche-par-la-defense.html

Et aussi sur le même sujet :

Les avocats de Dominique Strauss-Kahn ont fait appel à des détectives privés […]

Une pratique normale aux USA où c’est aux avocats qu’il appartient de mener l’enquête à décharge.

Cliquez sur l’image ci-dessous pour voir le reportage de BFM TV

En savoir plus :

http://detective-bordeaux.over-blog.com/article-des-detectives-prives-au-service-de-la-defense-de-dsk-74220879.html

C’est un projet de loi particulièrement ambitieux, qui pourrait changer jusqu’à la nature des services Web que nous utilisons aujourd’hui. L’administration Obama entend demander l’an prochain au Congrès d’imposer à tous les services de communication leur mise en conformité avec les demandes de mise sur écoute des services de police. Facebook, Skype ou encore BlackBerry, devraient ainsi changer la manière dont fonctionnent leurs services, pour que le Federal Bureau of Investigation (FBI) ou la National Security Agency (NSA) puissent mettre sur écoute les communications que ceux-ci font transiter.

[…]

Depuis l’attentat raté de Times Square, en mai dernier, les services de renseignement américains ont accéléré leurs demandes : le principal suspect utilisait en effet un service de communication en pair à pair, qu’ils n’auraient pu mettre sur écoute.

CONTRAINTE TECHNOLOGIQUE

[…]

La question de la surveillance des services décentralisés et cryptés s’est également posée de manière accrue cet été, lorsque plusieurs pays, dont l’Arabie saoudite, ont demandé à RIM, le constructeur des BlackBerry, de leur donner les clefs de son système de cryptage. Le constructeur canadien a finalement accepté d’installer des centres de relais en Arabie, permettant au gouvernement de consulter les données transitant sur son territoire sur réquisition judiciaire. Des discussions sont également en cours entre RIM et le gouvernement indien ; en 2008, lors des attentats de Bombay, les terroristes avaient utilisé des téléphones BlackBerry pour pouvoir communiquer sans être écoutés.

Le Monde.fr

En savoir plus :

http://www.lemonde.fr/technologies/article/2010/09/27/les-etats-unis-veulent-renforcer-leurs-capacites-d-espionnage-du-web_1416457_651865.html

Le Monde.fr

Les influences américaines

Posté par Arnaud Pelletier le 31 août 2009

On peut observer cinq formes originales des méthodes et canaux de l’influence américaine. Tout d’abord, de quoi s’agit-il lorsque l’on parle « d’influence » ?

L’influence appartient au domaine de l’Intelligence Economique. L’objectif est d’influencer les médias, opinions et gouvernants étrangers dans le but de préserver ou accroître le poids économique et politique, en l’occurrence américain.

Quelques exemples :
Vous souvenez-vous (2004) de l’affaire médiatique du saumon d’élevage européen qui provoquerait le cancer ? Une étude parue dans « Nature » démontrait que le saumon d’élevage européen, de par son alimentation en farine animale (poisson) était dangereux pour la santé, « cancérigène ». Or, cette étude provenait d’un laboratoire américain qui démontrait que l’alimentation en huile de soja, notamment transgénique, et de lin, était préférable.
Et c’est une alimentation qui se fait aux Etats-Unis. Donc, le saumon d’élevage et le saumon sauvage américains sont par contre, eux, sans danger pour la santé du consommateur. Or, le laboratoire dépendait d’une « ONG » dirigée par d’anciens collaborateurs d’entreprises américaines pétrolière et d’huile transgénique. L’étude a été commandée et financée par cette ONG. L’objectif était d’inciter à la consommation de saumon américain et amener les éleveurs européens à l’achat de cette huile de soja et de lin de leurs anciens employeurs… Cette étude oubliait d’informer qu’elle s’était basée sur l’analyse de « 3 » (sic) saumons européens, à la traçabilité douteuse, sans faire le lien avec leur environnement. Enfin, les producteurs d’huile transgénique, de lin et de soja évitent par contre toute étude sur les conséquences pour la santé du consommateur de saumon s’alimentant de leurs produits.

Autre exemple : la grippe aviaire. Grosse affaire médiatique. Impact sur la santé ?… L’important était de paniquer les opinions publiques pour inciter les Etats à se munir d’importants stocks de vaccins anti grippe aviaire.
En fait, la communication provenait « d’études » américaines, et il existait un laboratoire qui produisait ce vaccin. Laboratoire, vous l’aurez compris, américain, appartenant, surtout, au vice-président de l’époque, Dick Cheney.

Je n’aborderai pas des sujets tels que l’instrumentalisation de la Turquie, par nos amis Américains, pour déstabiliser l’Union Européenne concernant son identité, le soutien aux conservateurs polonais qui achètent de l’armement U.S. et s’opposent à la construction européenne, l’encerclement de l’Iran par l’Afghanistan et l’Irak, la déstabilisation de l’ancien pouvoir dictatorial de Saddam Hussein et de sa clique pour dégager l’influence française et rafler les marchés de reconstruction, de l’armement et du pétrole.

Bref, quelles sont ces cinq formes originales de l’influence américaine ?

1 ) La première, la plus cynique, est la manipulation d’ONG et la création de certaines par des « agences » de l’Etat américain. Le journal Le Point m’a surpris en abordant ce sujet fin juillet. Pourquoi surpris ? Parce que cet excellent hebdo connaît une évolution désagréable vers une pravda sarkozienne, donc suit le cheminement « atlantiste ».
En effet, des ONG sont utilisées par l’Etat US. Elles peuvent aborder la question de la santé (pour valoriser des produits US), de la culture (idem), de l’écologie (Greenpeace est financée, en forte partie, par des sociétés pétrolières américaines, c’est pour cela qu’elles ne dénoncent pas , ou alors de façon “cadrée”, les errements de ces sociétés, mais a pour spécialité de dénoncer le nucléaire français…, jamais le nucléaire US et les entreprises US qui construisent des centrales nucléaires…), ou encore de « l’éthique politique ».
En ce moment, certaines ONG (comme Transparency Internationale, Sherpa) dénoncent les dictatures, ou simili démocratie, africaines (surtout le Congo Brazzaville, la République Démocratique du Congo, le Gabon). Les dirigeants africains incriminés sont, comme par hasard, des politiques proches de la France. Car en réalité, l’Afrique connaît une guerre d’influence particulièrement violente entre Français, Américains et Chinois. Il s’agit de s’assurer la vente d’armes, de biens manufacturés, et l’achat de matières premières (pétrole, cuivre, etc.).
Ces ONG ne parleront pas de pays africains anglophones…
Nous avons connu par le passé ces tentatives de déstabilisation : le Rwanda et l’ex-Zaïre lié à la France, et l’Ouganda, lié à la Grande-Bretagne et l’Amérique. Au Maghreb, les Américains ont longtemps soutenus et financés les partis islamistes (exp : Front Islamique du Salut en Algérie). L’objectif est toujours de réduire l’influence française pour la remplacer par la sienne.
Les conséquences sont parfois désastreuses…
Je ne veux en aucun cas soutenir les dictateurs africains, mais il ne faut pas pour autant se montrer naïf.

2 ) Autre formule intéressante : la dénonciation des comptes bancaires secrets. Certains médias US et ONG attaquent exclusivement la Suisse et ses banques ces temps-ci. Pourquoi ? Parce que les Américains sont le deuxième pays au monde à posséder ce genre de comptes. L’objectif est de contrôler les banques qui permettent ces comptes. Or, la Suisse n’est pas « contrôlable », il faut donc déstabiliser ses banques pour que les propriétaires de comptes secrets aillent vers des banques, dans les îles Caïmans ou autre par exemples, sous l’œil du Brother US… Pas bête, n’est-ce pas ?

3 ) Il y a aussi les fonds financiers » ou « fonds vautours », avec des directions ou finances liées à l’Etat américains. Ces fonds attaquent une entreprise, déstabilisent ses dirigeants ou propriétaires, influencent les « stakeholders » (parties prenantes, comme les actionnaires). On a eu un bon exemple en France avec GEM Plus : entreprise française leader mondial des cartes à puces, elle a connu une déstabilisation de ses actionnaires, de ses dirigeants (faire croire à une mauvaise gestion, à une passe financière catastrophique), l’intrusion d’un « fonds vautour » qui a progressivement contrôlé (éviction des anciens dirigeants, placer des nouveaux dont certains proviennent de la CIA) l’entreprises jusqu’à délocaliser le siège au Luxembourg et avoir la majorité des parts.
Ces « fonds vautours » s’attaquent à des entreprises dites « stratégiques » (High Tech, forte valeur ajoutée, leaders, etc.) pour l’intérêt des entreprises US et de l’économie américaine. Ce qui me paraît naturel. Mais ces fonds s’attaquent aussi à des Etats fragiles, endettés, comme en Afrique ou Amérique du Sud, afin de « contrôler » leurs dettes et les assujettir (Congo Brazzaville).

4 ) Autre moyen efficace : la religion. Les mouvements Evangéliste, Pentecôtiste, ou autres courants protestants prosélytes. Ces mouvements se sont insinués en Amérique Latine et en Afrique depuis plus de deux décennies. On retrouve le lien entre la droite américaine et leurs alliés « puritains ». La stratégie est un peu à la jésuite d’hier : influencer les dirigeants politiques, faire de la charité et du prosélytisme pour « cadrer » les populations. Ainsi, les catholiques d’Amérique Latines connaissent bien cette concurrence qui soutient parfois même des candidats politiques… Il ne s’agit pas du simple pratiquant qui est un vrai croyant, mais des responsables de ces courants religieux parmi lesquels l’ont retrouvent fréquemment des employés d’agences américaines (un peu à la façon du parti communistes d’avant 1989)…

5 ) Dernière formule, la plus discrète mais la plus ravageuse pour nos entreprises : la bataille des normes. Il s’agit ici de normes de construction, de qualité, de contrôle. Les anglo-saxons sont très en avance dans ce domaine qui détermine le cadre de la production et du management industriels, par les « ISO ». Français et Européens se sont réveillés tardivement et peinent à imposer leurs normes. Or, cela concerne l’avenir même de l’activité industrielle de tous pays, de leur indépendance économique.

Il ne s’agit en aucune façon ici de faire un article suintant l’anti américanisme. Je ne suis pas un « anti américain primaire », ni même secondaire. L’objet de ces mots est de faire le constat des pratiques d’influences américaines afin de ne pas se coucher plus idiot ou naïf ce soir quand on entend parler d’ONG, d’OPA, de spiritualité, de management, etc.
Dans ce domaine de l’influence, les Américains ont toujours été efficaces et précurseurs. Et Russes, Chinois et Européens peuvent l’être aussi. Mais quand on parle d’Européens, la réalité est l’Etat nation : Allemand, Français, Britannique, etc.
Le manque d’Europe, de politique économique européenne, de structuration étatique européenne, nous laisse faibles par rapports aux USA, Chine, Russie, Brésil, Inde, etc. car il s’agit de taille et de capacité de puissance, d’unité de commandement et de politique…

Hier, la France « influençait », comme en Afrique. L’abbé Charles de Foucauld œuvrait pour la République… Mais nos moyens sont bien légers au regard de la concurrence internationale et des capacités de nos concurrents.
Encore une fois (sur ce blog), la question concerne l’Europe, la politique économique, les enjeux territoriaux, bref, nous parlons d’Intelligence Economique.

Et nos économies européennes, nos dirigeants, ne travaillent pas souvent en « bonne intelligence »…

http://www.blogdudemocrate.org/

L’objectif de ce blog créé en 2006, qui n’est pas à proprement parler un blog puisque je ne donne que très peu mon avis, est d’extraire de mes veilles web informationnelles quotidiennes, un article, un billet qui me parait intéressant et éclairant sur des sujets se rapportant directement ou indirectement à la gestion de l’information stratégique des entreprises et des particuliers.
Depuis fin 2009, je m’efforce que la forme des publications soit toujours la même ; un titre, éventuellement une image, un ou des extrait(s) pour appréhender le sujet et l’idée, l’auteur quand il est identifiable et la source en lien hypertexte vers le texte d’origine afin de compléter la lecture.
En 2012, pour gagner en précision et efficacité, toujours dans l’esprit d’une revue de presse (de web), les textes évoluent, ils seront plus courts et concis avec uniquement l’idée principale.
En 2022, les publications sont faite via mon compte de veilles en ligne : http://veilles.arnaudpelletier.com/
Bonne découverte à tous …


Arnaud Pelletier

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