Blog de l'information stratégique
De l’enquête à l’Intelligence économique
Enquêtes, Investigations, Intelligence économique,
Renseignement, Numérique, Cyber, Veilles, TIC, SSI …

Articles taggués ‘disparition’

Détectives privés et disparitions volontaires (Vidéo) …

Posté par Arnaud Pelletier le 11 mai 2017

11Chaque année, 11 000 adultes disparaissent en moyenne, soit 30 par jour ! S’il ne s’agit pas d’une personne fragile ou si aucune preuve ne laisse penser à une disparition inquiétante, les services de police ne vont pas donner la priorité à cette enquête. En France, un adulte a le droit de se volatiliser volontairement. La liberté d’aller et venir, et donc de disparaître, fait partie des droits de l’homme. Chaque année, des milliers d’hommes et de femmes décident de tout quitter pour changer de vie, sans donner la moindre information à leurs proches. De nombreuses familles, touchées par une disparition jugée «peu inquiétante», estiment être les oubliées du système judiciaire.

Un documentaire et un débat en prime time. Un rendez-vous qui offre une approche différenciée des réalités politiques, économiques, sociales ou mondiales. Débat avec Mr Arnaud PELLETIER, détective privé, directeur de l’Agence Leprivé, sur les disparitions volontaires.

Animé par Jean-Pierre Gratien pour lcp.fr

En savoir plus :

Source http://www.lcp.fr/emissions/droit-de-suite-0

Source https://www.youtube.com/watch?v=oT2Wv1kl9E4

 

Enregistrer

A lire leprogres.fr sur :

Depuis seize mois, les parents d’Adrien Fiorello sont sans nouvelle de leur fils. Un détective privé a pris la relève, la police ayant mis un terme à l’enquête.

« On a un peu de nouveau, mais rien de sûr ». Marie-France et Salvatoré Fiorello sont les parents d’Adrien, qui a disparu le 6 octobre 2010 au matin.

[…]

Impossible d’en rester là pour les époux Fiorello, qui estiment alors que c’est à eux de prendre les choses en main. L’idée de solliciter un enquêteur privé prend forme. Depuis, « les recherches ont avancé ». Adrien aurait été aperçu dans des discothèques ou bars de nuit à Chambéry puis Genève et Lausanne. « Trois personnes l’auraient reconnu ». Mais pas de certitude pour les parents d’Adrien : « Tant que nous n’aurons pas eu notre fils au téléphone ou tant que nous ne l’aurons pas vu, nous n’y croirons pas ». Des désillusions, ils en ont déjà eu. Trop de fois. Tous les deux sont persuadés que leur fils n’est pas parti tout seul, comme ça.

[…]

  • Pour toute information, prendre contact au 04 77 61 67 17
[…]

 

Par Carole Bouard pour leprogres.fr

 

Comment disparaître sans laisser de traces ?

Posté par Arnaud Pelletier le 26 avril 2011

Une famille ou une personne seule qui disparaît, intentionnellement, du jour au lendemain, c’est possible, mais c’est difficile…

«C’est un art de disparaître».

[…]

Certes, «chacun a le droit de disparaître et c’est possible», estime le détective, mais «c’est de plus en plus difficile» à une époque où tout le monde est «traqué et fiché de partout». Pour passer entre les mailles du filet, il faut être un véritable spécialiste. Alain Bernier cite notamment les escrocs, ces «menteurs professionnels», qui ne doivent leur échec qu’à leurs propres erreurs.

[…]

  • Changer d’identité et de date de naissance

A moins de vouloir vivre comme un ermite dans une grotte, c’est un sacrifice à faire pour rester inséré dans la société et pouvoir accéder à tous les services offerts par celle-ci et impliquant de donner ses coordonnées. Pour les plus extrémistes, la chirurgie esthétique est également un bon moyen de ne plus être reconnu.

  • Partir à l’étranger

C’est un grand classique. Alain Bernier cite l’Amérique du Sud parmi les destinations préférées des disparus volontaires «parce qu’il y a moins de contrôle et de flicage». Enfin, «cela dépend des pays».

  • Payer en liquide

La carte bleue est à proscrire parce qu’elle suit les paiements à la trace. Les espèces, elles, ne laissent aucune trace de son passage, mais à moins de partir en cavale avec un pactole, difficile d’arriver à vivre bien longtemps uniquement avec ce moyen. Ou alors, il faut trouver un petit boulot au noir.

  • Ne pas téléphoner

Le téléphone portable est l’autre élément le plus handicapant pour une disparition en raison de son pouvoir de géolocalisation. «Il faut enlever la batterie pour être sûr de ne pas être repéré», ajoute Alain Bernier. Le retour à l’usage des bonnes vieilles cabines téléphoniques est donc de rigueur.

  • Payer ses transports à l’unité

De plus en plus de villes proposent des systèmes de carte d’abonnement à puce (Navigo à Paris), hors tous vos déplacements y sont enregistrés. Le ticket traditionnel est à privilégier.

  • Eviter les lieux publics et les commerces

La vidéosurveillance est de plus en plus répandue, principalement dans les grandes agglomérations, mais également au sein même des commerces, par mesure de sécurité. Partisan d’un anonymat maximal, Jean-Pierre Petit, l’un des fondateurs du collectif «Souriez, vous êtes filmés», expliquait son quotidien à 20Minutes: «Je ne fréquente pas certains magasins.

[…]

  • Echapper au système

«Chaque fois que l’on commet un acte, on atterrit sur un fichier quelconque», caricature Alain Bernier. Mais il est vrai que la citoyenneté doit être réduite au minimum: plus question de payer d’impôts ou de voter. Il faut aussi veiller à ne pas tomber malade parce qu’il est également nécessaire de se passer de la carte vitale et ce n’est pas simple. «J’ai tenté de m’en passer, mais j’ai eu trop de problèmes. J’ai été obligé de la reprendre», raconte Jean-Pierre Petit.

  • Bannir toute vie sociale

La discrétion est de mise, le simple fait de parler à ses voisins peut constituer une erreur fatale. De la même manière, il convient de bien se comporter, car le moindre contact avec les autorités est éliminatoire.

  • Partir seul

Plus on est de fous, plus on rit, mais plus on laisse de traces aussi. Il n’y a que la solitude qui vaille dans une disparition réussie.

Il existe sans doute encore beaucoup de manières de s’évanouir dans la nature et, d’après Alain Bernier, «celui qui veut disparaître, il y arrive». Cependant, «à moins de se faire couper les dix doigts», le détective estime que nul ne peut vivre à jamais en échappant au reste du monde: «Il y a toujours un moment où nos traces refont surface».

Par Corentin Chauvel pour 20minutes.fr
En savoir plus :

TV – fugues et disparitions.

Posté par Arnaud Pelletier le 23 janvier 2008

« Ca se discute » en direct le 23 janvier consacré aux fugues et disparitions

Jean-Luc présentera en direct le prochain numéro du magazine « Ca se discute », mercredi 23 janvier à 22h35 sur France 2. Le thème abordé sera les fugues et disparitions.
Chaque année ils seraient environ 50.000 personnes à disparaître mystérieusement. Adultes, adolescents, enfants : que deviennent ceux qui se volatilisent un jour sans laisser de traces ?
La grande majorité d’entre eux sont des mineurs et leur nombre ne cesse de croître. Ainsi, en 2005, les services de gendarmerie recherchaient 6000 mineurs de plus qu’en 2003.
Dans seulement 2 % des cas, il s’agit d’enlèvements criminels. Quand les enfants sont enlevés, c’est dans 80% des cas par un conjoint après un divorce. Lorsque les adolescents disparaissent c’est pour fuguer, fuir une situation familiale trop douloureuse.
Parfois ce sont les adultes qui choisissent de disparaître : pour rompre avec le passé et surtout lancer un appel au secours. On les appelle les disparus volontaires.
Face à ce drame, les familles se sentent souvent abandonnées. Où chercher ? Qui appeler ? Qui croire ? Comment retrouver la trace ?
La gendarmerie met tout en œuvre pour retrouver les mineurs mais lorsqu’il s’agit de majeurs, les proches ont peu de recours. En effet nulle loi ne peut empêcher un adulte de se volatiliser sans laisser d’adresse.
Pourtant, les familles refusent de baisser les bras. Et pour retrouver un fils, une mère, un frère tous les moyens sont bons: radiesthésistes, détectives privés, affichettes… De leur côté, les disparus volontaires affrontent de nombreuses épreuves : recommencer une nouvelle existence, rompre les liens avec les proches, ne pas donner signe de vie.
Sur le plateau de « Ca se discute », familles de disparus et anciens disparus nous font partager leur souffrance et leurs espoirs :
Marie José Depuis 12 ans, sa fille Tatiana 17 ans a disparu. Elle revenait de week-end. Des témoins ne l’ont vu descendre du train, depuis plus aucune nouvelle. Ses parents vivent dans la douloureuse attente. Récemment après des affaires de meurtres dans la région, une enquête vient d’être réouverte.
Jacques 50 ans et sa fille Angélique 27 ans Le 25 février dernier, la femme de Jacques annonce à sa fille qu’elle descend acheter du pain, depuis personne ne l’a revue. Pourtant la veille de sa disparition, elle avait fêté en famille et dans la bonne humeur l’anniversaire de son mari. Rien ne laissait présager sa disparition. Pourtant depuis des années, M. souffrait de dépression et de maux de tête. Jacques ne perd pas espoir et met tout en oeuvre pour la retrouver.
Valérie, 36 ans, ex disparue volontaire A l’âge de 18 ans, Valérie en plein conflit avec sa mère, choisi de disparaître avec son petit ami. Elle change de région, refait faire ses papiers, coupe tous liens avec ses proches. Elle va connaître la dureté de la rue, les foyers, la misère. Au bout de 2 ans, toute jeune maman, elle décide de réapparaître.
Michel 52 ans et son fils 24 ans, fugueur A l’époque, Etienne a 16 ans. En rentrant un vendredi soir, il leur annonce qu’il se rend à une soirée. Le lendemain matin, pas de nouvelle.
Enterrés sous x. Chaque année, il y a plus de 800 à 1000 personnes enterrées sous x. parmi elles des personnes recherchées depuis longtemps par leur famille. Témoignages de familles.

L’objectif de ce blog créé en 2006, qui n’est pas à proprement parler un blog puisque je ne donne que très peu mon avis, est d’extraire de mes veilles web informationnelles quotidiennes, un article, un billet qui me parait intéressant et éclairant sur des sujets se rapportant directement ou indirectement à la gestion de l’information stratégique des entreprises et des particuliers.
Depuis fin 2009, je m’efforce que la forme des publications soit toujours la même ; un titre, éventuellement une image, un ou des extrait(s) pour appréhender le sujet et l’idée, l’auteur quand il est identifiable et la source en lien hypertexte vers le texte d’origine afin de compléter la lecture.
En 2012, pour gagner en précision et efficacité, toujours dans l’esprit d’une revue de presse (de web), les textes évoluent, ils seront plus courts et concis avec uniquement l’idée principale.
En 2022, les publications sont faite via mon compte de veilles en ligne : http://veilles.arnaudpelletier.com/
Bonne découverte à tous …


Arnaud Pelletier

Note sur les billets de ce blog et droit de réserve

Facebook


Twitter

Abonnez vous