Articles taggués ‘femme’
Qui protège le mieux sa vie privée sur le web ?
78% des femmes contre 63% des hommes se disent peu susceptibles de révéler des informations personnelles (date de naissance, adresse réelle, numéro de sécurité sociale, etc.) en utilisant les médias sociaux (Facebook, Instagram, sites de rencontre, etc.). Pourquoi ? Les femmes seraient-elles plus malignes que les hommes ? Peut-être… mais ce n’est pas si simple. En fait, les femmes auraient tendance à compter davantage sur leur propre comportement tandis que les hommes s’en remettent aux solutions techniques.
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Par franceinfo.fr
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Crédit Photo : Shutterstock
Le détective privé est une femme …
- 1000 euros pour une enquête
Généralement, 1000 euros, c’est la somme minimale à débourser pour une enquête. Cela peut atteindre 5 000 euros facilement, en fonction de la difficulté de l’affaire… Et plus encore pour une enquête au sein d’une entreprise, où les enjeux économiques valent bien le recours à un détective.
- Un œil sur les entreprises
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« Pour l’instant, je prends mes marques et noue quelques contacts, raconte-t-elle. Je souhaite notamment orienter mon activité vers les entreprises. La concurrence déloyale, la contrefaçon, les arrêts maladie de complaisance, les vols en entreprise ou l’intelligence économique (ces infos confidentielles dévoilées) sont des domaines sur lesquels j’aimerais intervenir. »
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Par Thomas Villepreux pour sudouest.fr
En savoir plus :
source http://www.sudouest.fr/2013/02/27/mademoiselle-la-detective-978735-4018.php
Femme détective, Gaël, enquêtrice de droit privé …
« J’ai envie d’aider les gens et je crois vraiment à la médiation. »
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« Souvent, les choses se règlent à l’amiable »
Gaël, qui exerçait auparavant dans des agences de la région parisienne, intervient avant ou après le pénal. Elle peut commencer une enquête et, en fonction des premiers résultats, ses clients décident d’aller ou pas au pénal. Elle peut également, à la demande d’un client, rouvrir une enquête si celle-ci est pénalement close.
Enquêtrice de droit privé est une profession libérale et Gaël n’est pas limitée territorialement. Elle peut agir à sa guise, où elle veut.
« Je ne suis ni avocate, ni psychologue. Quand les gens prennent la décision de venir nous voir, c’est qu’ils ont un problème qui les touche au niveau de l’affectif et qui conduit au mal-être. »
Pour autant, elle ne se retrouve pas en permanence dans le répertoire du mari ou de la femme trompé(e), un volet de son activité qui représente très peu d’affaires. Ses dossiers portent le plus souvent sur des problèmes d’abandons de famille ou d’héritage, des affaires de voisinage ou des situations conflictuelles dans des entreprises.
« Souvent, les choses se règlent à l’amiable. J’apporte à la fois mon expérience mais aussi ce regard extérieur qui souvent « désaffectise » le débat. »
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La balle est alors dans le camp de ses clients.
« Ils prennent leur décision en fonction de leurs intérêts, prennent un avocat, déposent plainte ou souhaitent que les choses se règlent à l’amiable. J’ai une obligation de moyens, mais je ne garantis pas que l’affaire soit résolue en cinq minutes. »