Articles taggués ‘vols’
Profession détective privé, il y a 50 ans et pourtant …
Équipés de leurs gadgets, les détectives privés mènent l’enquête. Et ce n’est pas parce que certaines mauvaises langues les appellent « La brigade des maris malheureux » qu’ils ne sont pas utiles pour des enquêtes que la police délaisse.
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On y parle déjà de filature et d’une image non réaliste, un détective c’est tout autre chose, avec des notions de connaissances professionnelles afin de lutter contre les vols dans les usines, le détournement de secret de fabrication ou d’œuvrer dans le contre-espionnage économique …
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Par l’INA sur facebook.com et instagram.com
Source : https://www.facebook.com/watch/?v=2722980984620529
https://www.instagram.com/tv/CIJFEKYjs8l/?utm_source=ig_web_button_share_sheet
Crédit Photo : Shutterstock
L’intelligence économique est aussi l’affaire des petites et moyennes entreprises …
Contrairement à ce que l’on pourrait penser, ce ne sont pas seulement les grandes entreprises qui sont visées : les TPE-PME sont aussi victimes de piratage car plus vulnérables. « Ces petites entreprises sont à protéger car certaines d’entre elles sont de vraies pépites en matière d’innovation à la Réunion », conclut Olivier Buquen. En métropole, plus de 1 000 « atteintes économiques » (piratage, vols, atteintes à la réputation d’une société…) ont été recensées en 2010.
Olivier Buquen, délégué interministériel à l’intelligence économique depuis 2009, était en déplacement sur notre île (la Réunion) pour deux jours. Dans le cadre de son tour de France des régions, la Réunion est le premier Dom qu’il a visité. Il a donné deux conférences : une première à l’IAE mercredi et une seconde à l’université hier.
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Qualitropic est un bon exemple en matière de veille stratégique par exemple. » Pourtant, Olivier Buquen le reconnaît, les chefs d’entreprise n’ont pas encore suffisamment conscience des menaces qui peuvent peser sur leurs sociétés. « Sans être naïf ou paranoïaque, il faut rester vigilant. 90% des menaces peuvent être limitées avec un comportement adéquat et une sécurisation des systèmes d’information », souligne-t-il. « Les cinq secteurs les plus vulnérables aux attaques extérieures sont ceux qui attisent les convoitises : l’aéronautique, l’automobile, le nucléaire, la sidérurgie et l’agroalimentaire. Seul ce dernier domaine concerne la Réunion, avec les énergies renouvelables qui font aussi partie de cette liste. »
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Par E.M pour clicanoo.re
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source http://www.clicanoo.re/11-actualites/13-economie/303793-l-intelligence-economique-est.html
GSM : Se prémunir des écoutes et se défendre des vols…
- Leçon n°1 : Se prémunir des écoutes…
Est-ce pour cette raison que les Vénézuéliens ne jurent que par leur Blackberry (ou BB) ? Notre confrère Slate.fr l’assure dans son article : « Il n’y a que le chien qui n’ait pas son BlackBerry dans la famille vénézuélienne ! ». Ainsi, le pays dirigé par Hugo Chavez serait dingue du fameux téléphone, à cause de son « PIN » : « Le PIN ? Le numéro d’identification unique et personnel à huit chiffres, qui a totalement remplacé, pour beaucoup, le numéro de téléphone ou le mail. Grâce à lui, les propriétaires de BB et eux seuls, peuvent s’échanger gratuitement messages, photos, etc. Valentina, avocate et utilisatrice BlackBerry depuis trois ans, l’a adopté : « C’est un service de communication privée qui est très difficile à pénétrer, contrairement aux mails ou SMS qui peuvent être contrôlés. Dans mon travail on l’utilise beaucoup » (Lire ici l’article).
Être pisté ou sur écoute est-il une réalité en France ? Selon Le Figaro.fr, ceux qui ont des choses à cacher feraient mieux d’échanger par mail que par téléphone : « Selon nos informations, les forces de police et de gendarmerie ne réalisent que 500 interceptions par an sur Internet, soit tout juste 10% de leurs besoins, contre 35.000 écoutes téléphoniques. (…) La France accuse un grand retard dans la modernisation des outils d’investigation sur Internet. Les interceptions téléphoniques – « les écoutes » – ont très largement fait face à l’explosion du nombre de téléphones portables depuis une décennie, en passant de 5.845 écoutes en 2002 à 35.000 aujourd’hui.
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(Lire ici l’article).
- Leçon n°2 : Se défendre des vols…
Selon l’article de Slate.fr, « le Venezuela n’échappe pas à la vague de vols de smartphones qui sévit dans le monde entier, et constitue même dans ce domaine un des pires exemples… Dans un pays qui recense 17.600 homicides en 2010, il est devenu un des premiers motifs de vol et d’agression… ». En France, un nouveau dispositif de la loi Loppsi – présenté dans un communiqué de la préfecture de l’Yonne, reçu vendredi 22 avril 2011 – vient d’être créé afin de rendre le vol de portable sans intérêt…
Extraits du communiqué : « Auparavant seule la fonction téléphone était bloquée par une déclaration à votre opérateur. Grâce aux nouvelles dispositions, dès que vous aurez porté plainte, la police ou la gendarmerie feront bloquer toutes les fonctionnalités de votre téléphone utilisant le réseau ou le web (téléphone proprement dit, usage web, consultation d’applications etc.). Afin de rendre inutilisables les téléphones volés, ces appareils seront bloqués par votre opérateur de téléphonie mobile lorsque la police ou la gendarmerie leur signalera le vol. Plus aucune fonctionnalité ne sera accessible. Ainsi le vol deviendra inutile. Quel est le numéro IMEI de votre téléphone ? Ce numéro peut vous être communiqué par votre opérateur. Vous pouvez le relever dès à présent en tapant *#06# sur votre téléphone. Conservez ce numéro en dehors de votre téléphone portable, en un lieu ou vous saurez le retrouver en cas de vol ».
Mais votre téléphone n’est pas le seul à avoir de la valeur : d’après un autre article de Slate.fr, il semblerait que « votre ordinateur vaut bien plus que son prix » : « Imaginez que vous soyez tombé nez à nez ce matin avec un cambrioleur masqué, faisant main basse non pas sur votre argenterie ou vos bijoux, mais sur votre ordinateur portable. Ce criminel atypique vous dit qu’il ne veut pas voler votre ordinateur mais le kidnapper. Il vous le rendra si vous acceptez de négocier avec lui et de déterminer combien vous seriez prêt à mettre dans une rançon annuelle, vous octroyant le privilège de garder cette machine chez vous. Ce qui pourrait sembler ridicule mais de nombreux économistes adoreraient faire cette expérience car ils suspectent que nos ordinateurs valent, d’une certaine (et étrange) façon, bien plus que ce que nous payons en les achetant » (Lire ici l’article).
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Par Hanaë Grimal pour dijonscope.com
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