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Articles taggués ‘piratage’

A lire sur deplacementspros.com :

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Selon les informations fournies par les américains, tous les mails qui transitaient via les réseaux internet gérés par IBahn auraient été piratés, analysés et conservés. Parmi les domaines analysés : l’aéronautique, l’industrie pharmaceutique et celle des nouvelles technologies informatiques.

La Chine n’a jamais caché que la recherche d’informations commerciales stratégiques était une activité importante de ses services d’espionnage. On estime aujourd’hui que plus de 150 000 personnes en Chine travaillent à l’espionnage économique. Pour la CIA, cette information est préoccupante même si, selon elle, la plupart des grandes entreprises américaines se sont protégées de ce type d’attaque. La France n’a jamais communiqué sur ce sujet même si on sait que depuis quelques années, les entreprises du CAC40 auraient été formées par des agents à la cyber guerre économique. A cette heure, les spécialistes de la sécurité numériques invitent les entreprises à utiliser des outils cryptés qui rendent difficile la lecture des messages transmis sur les réseaux.

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Par la rédaction de deplacementspros.com

En savoir plus :

source http://www.deplacementspros.com/Chine-le-piratage-de-milliers-d-emails-de-voyageurs-d-affaires-serait-une-methode-appliquee-depuis-longtemps_a12805.html

Image d’illustration  libre de droit.

C’est une guerre de l’ombre qui prend chaque année de l’ampleur. Selon nos informations, les actes de cybercriminalité touchant les entreprises et les particuliers ont progressé de 29% en 2011 en France. Les attaques informatiques, qui étaient au nombre de 5000 environ en 2010, devraient passer à 6500 environ à la fin de l’année. Ces chiffres vont être affinés et seront publiés en janvier par le ministère de l’Intérieur.

L’année 2011 a en effet été marquée par plusieurs attaques spectaculaires.

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Côté entreprises, l’attaque la plus spectaculaire est celle qui a frappé, à la fin de l’été, plusieurs grands groupes dont la Scor et Quick. Des hackeurs ont ainsi réussi à falsifier les adresses de patrons et à envoyer des mails aux services comptabilité de leurs entreprises avec des demandes de virements allant jusqu’à 798.000 euros.

  • Une lutte intensifiée

«Nous arrivons à cette hausse de 29% des cyberattaques en 2011, qui ne recouvre pas les fraudes aux cartes bancaires, en additionnant les plaintes déposées depuis le début d’année, explique une source au ministère de l’Intérieur. Mais cette statistique ne représente environ que 10% de la réalité.» La majorité des entreprises victimes d’une cyberattaque ne s’en rendent en effet pas compte car elles n’ont pas de systèmes de pare-feu assez puissants ou prennent encore trop souvent le parti de ne pas signaler la cyberattaque pour des raisons d’image.

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Au niveau du gouvernement, on refuse de sombrer dans le pessimisme. On rappelle que les effectifs de l’Agence nationale de la sécurité des systèmes d’information (Anssi) vont tripler entre 2011 et 2012 et que cette agence de lutte contre la cybercriminalité a un budget de 90 millions d’euros par an.

«En matière de sécurité économique, il y a une course permanente entre le glaive et le bouclier, comme pour la délinquance classique, indique Olivier Buquen, délégué interministériel à l’intelligence économique. De plus en plus d’entreprises ont compris qu’il fallait se défendre avec une logique de coffre-fort: mettre un maximum de moyens pour isoler et protéger ses informations sensibles dans un lieu inviolable.»

Par Fabrice Amedeo pour lefigaro.fr

En savoir plus :

source http://www.lefigaro.fr/hightech/2011/12/12/01007-20111212ARTFIG00235-net-forte-hausse-du-piratage.php

Contrairement à ce que l’on pourrait penser, ce ne sont pas seulement les grandes entreprises qui sont visées : les TPE-PME sont aussi victimes de piratage car plus vulnérables. « Ces petites entreprises sont à protéger car certaines d’entre elles sont de vraies pépites en matière d’innovation à la Réunion », conclut Olivier Buquen. En métropole, plus de 1 000 « atteintes économiques » (piratage, vols, atteintes à la réputation d’une société…) ont été recensées en 2010.

Olivier Buquen, délégué interministériel à l’intelligence économique depuis 2009, était en déplacement sur notre île (la Réunion) pour deux jours. Dans le cadre de son tour de France des régions, la Réunion est le premier Dom qu’il a visité. Il a donné deux conférences : une première à l’IAE mercredi et une seconde à l’université hier.

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Qualitropic est un bon exemple en matière de veille stratégique par exemple. » Pourtant, Olivier Buquen le reconnaît, les chefs d’entreprise n’ont pas encore suffisamment conscience des menaces qui peuvent peser sur leurs sociétés. « Sans être naïf ou paranoïaque, il faut rester vigilant. 90% des menaces peuvent être limitées avec un comportement adéquat et une sécurisation des systèmes d’information », souligne-t-il. « Les cinq secteurs les plus vulnérables aux attaques extérieures sont ceux qui attisent les convoitises : l’aéronautique, l’automobile, le nucléaire, la sidérurgie et l’agroalimentaire. Seul ce dernier domaine concerne la Réunion, avec les énergies renouvelables qui font aussi partie de cette liste. »

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Par E.M pour clicanoo.re

En savoir plus :

source http://www.clicanoo.re/11-actualites/13-economie/303793-l-intelligence-economique-est.html

Lui même victime, Jean-François Copé, secrétaire général de l’UMP, a qualifié mercredi 9 novembre d’« extrêmement grave » le piratage de données professionnelles et privées de députés UMP.

 

Découvert par une agence de veille et relevé par Rue89, ce piratage concerne près d’un millier de cadres de la majorité dont Christian Jacob, Michèle Alliot-Marie, Marie-Anne Montchamp et M.Copé, qui a indiqué avoir reçu « des centaines et centaines de messages d’injures, d’insultes à caractère très diversifié » et précisé qu’il allait « dans une heure, changer de numéro de portable ».

Selon Rue89, qui a décidé de ne pas indiquer le lien du site concerné, « quatre fichiers texte ont été mis en ligne samedi 5 novembre et comportent un grand nombre de données sensibles : numéros de téléphone fixe et portable, numéros de téléphone prioritaires, nom, adresse et numéros de téléphone de leurs suppléants, nombre d’enfants, année de naissance du cadet et de l’aîné des enfants, adresses personnelles et professionnelles ».

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Le ou les responsables de ce piratage ont laissé un message de revendication sur le serveur piraté de l’UMP, relayé par Rue89 : « A tous les gardés à vue des banlieues karcherisées, aux manifestants battus, aux journalistes espionnés, aux demandeurs d’asile ignorés et matraqués, aux Roms stigmatisés, à toutes les victimes de l’UMP, nous vous livrons les coordonnées de l’UMP. Œil pour œil, dent pour dent. »

L’UMP VA PORTER PLAINTE CONTRE X

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« C’est extrêmement grave », a jugé le député-maire de Meaux. « Cela pose vraiment le problème de la protection des données individuelles ». « C’est inacceptable dans un grand pays moderne ».

Le président du groupe UMP à l’Assemblée nationale, Christian Jacob, a « décidé de porter plainte contre X du chef de violation du secret des correspondances et vol de données informatiques, auprès du procureur de la République de Paris », indique un communiqué.

Par AFP pour lemonde.fr

En savoir plus :

source http://www.lemonde.fr/politique/article/2011/11/09/piratage-de-donnees-l-ump-porte-plainte-les-deputes-changent-de-telephone_1600949_823448.html

La clé USB comme outil d’espionnage …

Posté par Arnaud Pelletier le 21 décembre 2010

L’Institut des hautes études de défense nationale constate que les entreprises françaises négligent toujours les risques d’attaques informatiques. On ne se méfiera jamais assez des clés USB  !

Il n’y a rien de plus facile que de s’introduire dans une réception, un cocktail ou dans le hall d’entrée d’une entreprise et d’y déposer négligemment une dizaine de clés USB sur les tables. Ensuite, parions qu’au moins un employé ramassera l’une d’elles, surtout si celle-ci possède un logo amusant, et la branchera un peu plus tard sur son ordinateur.

Mots de passe avalés

Or cette clé USB contient un logiciel espion qui avalera les mots de passe, volera des gigaoctets d’informations, lancera des applications sans rien installer sur la machine hôte et accédera à l’Intranet de la société. Ce n’est pas un scoop : depuis des années, les clés USB sont un véritable cauchemar pour les responsables de la sécurité. Mais pour qu’une démonstration, organisée à Paris par l’Institut des hautes études de défense nationale le 25 novembre, soit faite en direct par un ingénieur de la Direction générale de l’armement lors d’une table ronde intitulée « Guerre froide sur le Net », il faut croire que l’information passe toujours aussi mal dans les petites et moyennes entreprises !

PME visées

Pendant la démonstration, devant des officiers supérieurs et des responsables de la sécurité de grands groupes comme Thales ou Capgemini, on a pu voir une clé USB prendre le contrôle d’un ordinateur, mais aussi de sa webcam. En prime, le logiciel espion récupérait l’image et le son de sa victime grâce au téléphone posé, comme souvent, à côté de l’ordinateur. « Les petites et moyennes entreprises ne disposent pas d’assez de moyens pour investir dans la sécurité des systèmes d’information, ni de personnels formés et compétents en la matière », déplore le sénateur Roger Romani, auteur d’un rapport intitulé Cyberdéfense : un nouvel enjeu de sécurité nationale. Cette situation est d’autant plus préoccupante que les PME sont confrontées à « la nécessité d’ouvrir de plus en plus leurs réseaux pour communiquer avec leurs partenaires ».

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Par Amédée Sonpipet pour bakchich.info

En savoir plus :

http://www.bakchich.info/La-cle-USB-comme-outil-d,12694.html

La DCRI mène aussi la lutte informatique …

Posté par Arnaud Pelletier le 26 octobre 2010

Le contre-espionnage est maintenant appelé à jouer un rôle clé dans la lutte contre le piratage informatique.

Les espions agissent à distance, et les Etats sont de plus en plus vulnérables, mais conscients, des actions à mener.

La menace est réelle. Il y a trois ans, le contre-espionnage avait détecté, sur la messagerie informatique d’une ambassade française, des courriels d’apparence anodine, mais ils étaient porteurs d’un virus malin et reconstituaient tout l’environnement sonore de la pièce où l’ordinateur, une fois allumé, se trouvait. Plus proche de nous, une fédération sportive rentre des JO de Pékin, avec une clé USB infectée qui ouvre la voie à un virus susceptible de piller le fichier des alertes.

Face à cette situation, la DCRI (Direction Centrale du Renseignement Intérieur), recense plusieurs services chargés de détecter les attaques venant d’Etats ou de hackers professionnels.

Eric Bellemin-Comte, adjoint au sous-directeur de la protection économique,  cité dans l’Express, affirme : « la vulnérabilité informatique nous préoccupe, car c’est le patrimoine économique et scientifique qui est visé ». La DCRI mène d’ailleurs de plus en plus d’actions de sensibilisation dans les entreprises à ce sujet.

Par Sylvaine Luckx pour www.mag-securs.com

Source :

http://www.mag-securs.com/News/tabid/62/articleType/ArticleView/articleId/27949/La-DCRI-mene-aussi-la-lutte-informatique.aspx

C‘est une affaire qui soulève de « graves » questions, a dit Gordon Brown. Une enquête a été ouverte en Grande-Bretagne après les révélations du « Guardian », qui accuse des journalistes du très populaire « News of the World », propriété de Rupert Murdoch, d’avoir piraté les messageries vocales de centaines de célébrités et hommes politiques.

D’après le quotidien « The Guardian », le journal le plus lu le dimanche en Grande-Bretagne aurait payé des détectives privés pour pouvoir écouter les messages vocaux sur des répondeurs, et obtenir des informations confidentielles, dont des relevés bancaires, sur des stars comme l’actrice Gwyneth Paltrow, le chanteur George Michael ou la chef cuisinière des célébrités Nigella Lawson. Le maire de Londres Boris Johnson figurerait aussi parmi les victimes, ainsi que des responsables des trois principaux partis politiques de Grande-Bretagne.

Plusieurs parlementaires ont déjà exigé des explications, le Premier ministre Gordon Brown reconnaissant que l’article du « Guardian » soulève « des questions qui sont graves et auxquelles des réponses devront évidemment être apportées ».

Le plus haut responsable de la police britannique, le chef de la police métropolitaine Paul Stephenson, a annoncé jeudi avoir chargé l’un des principaux enquêteurs de Scotland Yard d’examiner ces allégations.

Titre phare de la presse à scandale, « News of the World » appartient à News International, une filiale de News Corporation, le groupe du magnat des médias Rupert Murdoch, qui possède aussi le « Times » de Londres et, aux Etats-Unis, le réseau télévisé Fox Television, le réputé « Wall Street Journal » et le « New York Post ». « Nous ferons une enquête approfondie et nous suivrons l’affaire jusqu’où elle nous mènera », a déclaré Paul Stephenson sur Sky News.

Le secrétaire d’Etat à l’Intérieur David Hanson a précisé que la police communiquerait un peu plus tard sur ces « graves allégations ».

Selon le « Guardian », qui cite des sources policières anonymes, les journalistes du tabloïd ont utilisé les services de détectives privés pour pirater les messageries vocales des portables, utilisant l’information pour « obtenir un accès illégal à des données personnelles confidentielles, dont des relevés d’impositions, des dossiers de sécurité sociale, des relevés bancaires ou des factures de téléphone détaillées ».

D’après le « Guardian », « News of the World », dont le tirage avoisine les trois millions d’exemplaires, aurait versé plus d’un million de livres (1,16 million d’euros), dans le cadre d’accords à l’amiable avec trois des cibles visées, dont Gordon Taylor, un responsable de l’Association des footballeurs professionnels.

News International a jugé dans un communiqué « inapproprié » de commenter l’affaire « à ce stade ». D’après Andrew Neil, un ancien rédacteur en chef du « Times », Rupert Murdoch aurait démenti avoir connaissance des sommes versées à Taylor et d’autres. « S’il ne savait pas, d’autres savaient certainement », a-t-il dit à la BBC. « Quand quelqu’un arrive avec un vraiment gros scoop, l’une des premières grandes questions que vous lui posez, c’est: ‘comment tu as eu ça’? »

Les révélations du « Guardian » rallument le vieux débat sur les règles de déontologie des journaux britanniques, souvent engagés dans une guerre sans merci au scoop et à l’exclusivité.

En 2006, le commissaire à l’information Richard Thomas, responsable de l’agence britannique de protection des données, avait dénoncé dans un rapport le « marché noir d’information confidentielles personnelles », dont la majeure partie était achetée par des médias. Le bureau du commissaire a précisé jeudi qu’en 2006, il avait fourni à la police la preuve que 31 journalistes de « News of the World » et du tabloïd « The Sun » avaient acheté ou vendu des données confidentielles acquises illégalement.

En 2007, un rédacteur en chef de « New of the World », Clive Goodman, avait écopé de quatre mois de prison pour avoir piraté les répondeurs de membres ou employés de la famille royale d’Angleterre. Son complice, le détective privé Glenn Mulcaire, avait été condamné à six mois de prison pour avoir piraté des messages, dont ceux des princes William et Harry, les fils de Charles. D’après le juge, le détective avait réussi à tromper des opérateurs téléphoniques pour se procurer les codes PIN confidentiels permettant d’avoir accès aux messageries vocales des portables. AP

http://tempsreel.nouvelobs.com/depeches/international/20090709.FAP3386/un_tabloid_de_rupert_murdoch_accuse_davoir_pirate_les_r.html

La France au cinquième rang mondial du piratage de logiciels

Posté par Arnaud Pelletier le 13 mai 2009

Pour sa sixième édition, l’étude internationale « IDC-BSA » sur le piratage de logiciels place encore la France parmi les plus mauvais élèves de la classe. Pourtant, ce ne sont pas les dispositifs répressifs qui manquent.

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Le piratage numérique serait-il un sport national français ? Tout comme la musique et les films, les logiciels informatiques sont victimes du téléchargement illégal et des copies illicites, déplore la BSA (Bureau Software Alliance), qui tire opportunément le signal en plein examen parlementaire de la loi Hadopi. Selon la sixième étude annuelle réalisée par le cabinet d’études américain IDC pour le compte de l’association internationale de lutte contre le piratage de logiciels, le « manque à gagner » pour les éditeurs de logiciels a encore dépassé les 2 milliards d’euros en 2008 dans l’Hexagone. Et ce alors même que le taux de piratage de logiciels sur les micro-ordinateurs serait en léger recul dans notre pays, passant de 42 % à 41 % d’une année à l’autre. La perte financière pour les éditeurs a ainsi augmenté (effet de change compris) de 6 % par rapport à 2007.

Organisation internationale comptant 80 employés dans le monde, la BSA regroupe une quarantaine de membres dont la plupart sont des poids lourds du secteur, comme Microsoft, SAP, Symantec, Computer Associates (CA), IBM ou encore HP. Mais malgré ses moyens financiers, elle peine à endiguer le piratage de logiciels. Domaine dans lequel les Français ne sont donc pas en reste…

« C’est culturel »

Pourtant dotée d’un arsenal législatif anticontrefaçon parmi les plus sévères du monde (voir ci-dessous), la France est para- doxalement plus encline à pirater. « C’est culturel. Les Français essaient souvent de contourner les règles », avance, comme l’une des explications, Natacha Jollet-David, porte-parole pour la France de l’organisation international et, par ailleurs, responsable antipiratage chez l’éditeur de logiciels Adobe (également membre).

Certes, avec un peu moins d’un logiciel sur deux piraté, le pays des droits d’auteur demeure loin des bons élèves (20 % seulement aux Etats-Unis, 21 % au Japon ou encore 27 % en Allemagne). Mais les Français restent des enfants de coeur par rapport aux grands contrefacteurs que sont les Géorgiens (95 %), les Bangladais (91 %) et bien sûr les Chinois (80 %). Résultat, malgré une amélioration notable ces dernières années, l’Hexagone se place encore en cinquième position mondiale des pays où le manque à gagner est le plus élevé – en l’occurrence derrière les Etats-Unis, la Chine, la Russie et l’Inde. En 2008, les éditeurs de logiciels estiment avoir perdu un montant global de 53 milliards de dollars (+ 11 % sur un an) et la France pèse 5,2 % de ce manque à gagner total.

Fléau moins menaçant

Cependant, à force de sensibilisation et d’actions de la BSA auprès des entreprises, le fléau se ferait un peu moins menaçant. « Au niveau mondial, plus de la moitié des 110 pays étudiés ont vu leur taux de piratage chuter et seulement 15 % d’entre eux ont constaté une augmentation », précise la BSA, qui met en garde les entreprises tentées de resquiller en 2009 sous prétexte d’incertitude économique et de marché instable. Mais Natacha Jollet-David de constater : « Le taux de piratage de logiciels a baissé de 6 points en France depuis 2005. » Gagner dix points de plus permettrait de créer près de 15.000 emplois et contribuerait pour près de 9 milliards d’euros à l’économie française, plaide la porte-parole de la BSA.

C. DE L., Les Echos

http://www.lesechos.fr/info/hightec/4863040-la-france-au-cinquieme-rang-mondial-du-piratage-de-logiciels.htm

L’objectif de ce blog créé en 2006, qui n’est pas à proprement parler un blog puisque je ne donne que très peu mon avis, est d’extraire de mes veilles web informationnelles quotidiennes, un article, un billet qui me parait intéressant et éclairant sur des sujets se rapportant directement ou indirectement à la gestion de l’information stratégique des entreprises et des particuliers.
Depuis fin 2009, je m’efforce que la forme des publications soit toujours la même ; un titre, éventuellement une image, un ou des extrait(s) pour appréhender le sujet et l’idée, l’auteur quand il est identifiable et la source en lien hypertexte vers le texte d’origine afin de compléter la lecture.
En 2012, pour gagner en précision et efficacité, toujours dans l’esprit d’une revue de presse (de web), les textes évoluent, ils seront plus courts et concis avec uniquement l’idée principale.
En 2022, les publications sont faite via mon compte de veilles en ligne : http://veilles.arnaudpelletier.com/
Bonne découverte à tous …


Arnaud Pelletier

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