Articles taggués ‘e-réputation’
44% des internautes français sont vigilants avec leurs données privées sur internet …
Sondage LH2-ZDNet.fr – Les internautes français sont prudents. Avec le succès des réseaux sociaux – Facebook compte 20 millions de comptes en France -, le contrôle de l’identité numérique représente une priorité pour 44% d’entre eux, qui évitent de publier des informations privées sur le web ou en limitent l’accès.
Dans l’ensemble, la prudence domine. Ainsi, la protection des informations personnelles ou professionnelles est l’attitude la plus répandue : 38% des internautes évitent purement et simplement de partager ce type d’informations sur le web.
A la marge, 6% préservent leur anonymat sur Internet en utilisant des pseudonymes ou en limitant l’accès à ce qu’ils publient, afin d’éviter que leurs informations privées soient accessibles à tous.
Près de 2 internautes sur 5 n’ont pas l’occasion de publier d’informations à caractère privé sur le web : des usages plus distanciés, probablement par manque d’intérêt pour les réseaux sociaux ou parce que leurs contributions restent de nature très impersonnelle (petites annonces, avis de consommateurs…).
16% des internautes adoptent une stratégie qui se rapproche du « personal branding » : ainsi, ils se déclarent vigilants quant à ce qu’ils publient sur le web, sans pour autant rechercher l’anonymat.
La vigilance prend largement le pas sur l’insouciance, et seuls 2% des internautes français dévoilent sans se soucier de qui pourra y accéder, des informations de type personnel ou professionnel.
[…]
Par la rédaction de zdnet.fr.
En savoir plus :
E-réputation en vidéo …
Méthodologies et outils pour gérer son e-réputation – Camille Alloing
Description
Cours aux anciens organisé par l’AEGE “l’e-réputation : Identifier les opportunités et mesurer les risques grâce à la veille stratégique” animé par Camille Alloing à l’Ecole de Guerre Economique, 10 Mars 2010.
Intervenants
Camille Alloing, Consultant en gestion de la réputation en ligne, créateur et animateur du blog CaddE-réputation
Cours aux anciens de Camille Alloing dispensé dans le cadre de l’EGE :
Identifier les opportunités et mesurer les risques grâce à la veille stratégique
En savoir plus :
http://tv.aege.fr/2010/07/methodologies-et-outils-pour-gerer-son-e-reputation-camille-alloing/
Et aussi l’excellent blog de Camille Alloing :
Mesurer l'e-réputation …
Il est très difficile de mesurer concrètement l’impact quantitatif d’une mauvaise gestion de son e-réputation (hors utilisation d’un logiciel dédié à cet effet), vous trouverez ci-après un petit exemple empirique qui a le mérite de bien illustrer cela.
J’ai publié sur ce blog un billet le 09/09/10 qui évoquait un cas de mauvaise gestion de l’e-réputation, avec un côté humoristique qui ne gâche rien.
http://blog.leprive.biz/2010/09/09/le-reputation-une-demonstration-presidentielle/
Ceci étant, 6 jours plus tard, le 15/09/10, je fais un petit contrôle pour vérifier l’impact de ce mini buzz, provoqué par quelques lignes sur Facebook.
Résultat :
Le 09/09/10 : 425.472 personnes voient le film négatif pour l’image de l’intéressé ayant mal géré son e-réputation.
Le 15/09/10 : 667.877 personnes voient le film négatif pour l’image de l’intéressé ayant mal géré son e-réputation.
Soit 242.405 personnes de plus en 6 jours ! Une progression de près de 57 % en moins d’une semaine !
Qui a dit que quelques commentaires négatifs sur Facebook n’influençaient pas les internautes ? (qui sont des électeurs, consommateurs, clients, prospects, fournisseurs, etc.) !
L'e-réputation : une démonstration présidentielle …
On parle beaucoup d’e-réputation, alors voici un exemple quelque peu humoristique mais qui ne doit pas faire rire tout le monde …
Sur la page Facebook officielle de la présidence de la république française, on trouve ce types de commentaires :
« Un truc étonnant du web : Tapez « trou du cul » sur google puis cliquez sur « j’ai de la chance » (sans cliquer sur entrée). Et la surprise! A regarder jusqu’au bout pour comprendre.
On peut lire aussi : Allez sur google, tapez « Trou du cul » (sans cliquer sur entrée) et cliquez sur « J’ai de la chance » et surtout, faites tourner !! c’est très très fort !!!!
Vérifiez vous-même avant que les commentaires soient (ou pas) retirés !!!
http://www.facebook.com/photo.php?pid=4549052&fbid=395217421077&id=7766361077
Si il le sont, ou si google indexe différemment, voici où nous menait cette recherche :
http://www.youtube.com/watch?v=oiTuU_AaenA
Vues par 425472 personnes le 09/09/10.
Bonne gestion de l’e-réputation donc !!!
C'est quoi l'E-réputation ?
Avez-vous une bonne E-réputation ?
Mieux qu’un long discours, une excellente émission sur la E-Reputation :
http://toutes-les-france.rfo.fr/index-fr.php?page=player_video&id_article=460
GFII : e-réputation et identité numérique des organisations …
par le Groupement Français de l’Industrie de l’Information – GFII
Après une introduction des concepts et des enjeux liés à la thématique, ce guide propose des fiches pratiques reprenant les principales menaces qui ont pu être identifiées et présente pour chacune d’entre elles une description de ses caractéristiques puis les modes de traitement applicables. Chaque fiche est également illustrée d’un ou deux exemples réels mais anonymisés assorti d’un focus assez précis sur les modes de traitement mis en place et sur les actions mises en œuvre par les différents services de l’entreprise.
Ensuite, des préconisations de mesures préventives et curatives seront présentées et complétées d’un panorama d’acteurs susceptibles d’accompagner les décideurs dans les actions à mener.
[…]
Licenciés pour avoir critiqué leurs patrons sur Facebook …
« Incitation à la rébellion » et « dénigrement de l’entreprise » sont les motifs invoqués par la direction d’Alten pour justifier le licenciement de trois salariés, sur la base de propos privés tenus sur Facebook et rapportés à la direction par un de leur « ami » sur Facebook.
Le conseil des Prud’hommes de Boulogne-Billancourt se réunissait jeudi 20 mai afin de se prononcer sur la validité des licenciements de deux salariés de la SSII Alten qui avaient tenu, dans une conversation privée sur Facebook, des propos jugés désobligeants à l’égard des membres de la direction de l’entreprise.
Voilà une affaire qui devrait déboucher sur de nouvelles mises en garde quant aux propos qu’il est préférable de tenir (ou pas) sur un service en ligne comme Facebook. On savait déjà que les recruteurs fouillaient parfois sur les pages du réseau social pour […]
Des licenciements fondés sur la délation d’un « ami » sur Facebook
Les employeurs semblent bien eux aussi se soucier des discussions privées de leurs salariés comme en témoignent les licenciements de trois employés de la SSII Alten. En décembre 2008, depuis leur domicile, ils se connectent tous trois un samedi soir sur Facebook.
Au fil de la discussion, ils émettent des critiques à l’égard de leur hiérarchie, notamment du responsable des ressources humaines. Sur son profil, un des salariés ironise, s’estimant mal considéré par sa hiérarchie, et indique faire partie du « club des néfastes ». « Bienvenue au club » commenteront ses […]
L’affaire ne s’arrête pas là, puisqu’un tiers, « ami » Facebook des employés (ce qui lui permet d’accéder à cette conversation) en transmet une copie à la direction d’Alten. Quelques semaines plus tard, l’entreprise licencie ses trois salariés rebelles pour « incitation à la rébellion » et « dénigrement de l’entreprise ».
Facebook : encore un lieu de discussion privé ?
Si un des employés mis à la porte a accepté un accord amiable avec l’entreprise, les deux autres ont eux décidé de l’assigner devant les prud’hommes. Car pour fonder ces licenciements, Alten s’appuie sur des propos privés tenus sur le temps libre des employés et par le biais de leur ordinateur personnel.
Néanmoins, l’affaire n’a pu être tranchée par le conseil des Prud’hommes de […]
Par Christophe Auffray, ZDNet France.
http://www.zdnet.fr/actualites/internet/0,39020774,39751826,00.htm
Trois salariés d’Alten licenciés pour avoir critiqué leurs patrons sur Facebook
Juridique – « Incitation à la rébellion » et « dénigrement de l’entreprise » sont les motifs invoqués par la direction d’Alten pour justifier le licenciement de trois salariés, sur la base de propos privés tenus sur Facebook et rapportés à la direction par un de leur « ami » sur Facebook.
Le conseil des Prud’hommes de Boulogne-Billancourt se réunissait jeudi 20 mai afin de se prononcer sur la validité des licenciements de deux salariés de la SSII Alten qui avaient tenu, dans une conversation privée sur Facebook, des propos jugés désobligeants à l’égard des membres de la direction de l’entreprise.
Voilà une affaire qui devrait déboucher sur de nouvelles mises en garde quant aux propos qu’il est préférable de tenir (ou pas) sur un service en ligne comme Facebook. On savait déjà que les recruteurs fouillaient parfois sur les pages du réseau social pour se renseigner sur des candidats.
Des licenciements fondés sur la délation d’un « ami » sur Facebook
Les employeurs semblent bien eux aussi se soucier des discussions privées de leurs salariés comme en témoignent les licenciements de trois employés de la SSII Alten. En décembre 2008, depuis leur domicile, ils se connectent tous trois un samedi soir sur Facebook.
Au fil de la discussion, ils émettent des critiques à l’égard de leur hiérarchie, notamment du responsable des ressources humaines. Sur son profil, un des salariés ironise, s’estimant mal considéré par sa hiérarchie, et indique faire partie du « club des néfastes ». « Bienvenue au club » commenteront ses deux collègues.
L’affaire ne s’arrête pas là, puisqu’un tiers, « ami » Facebook des employés (ce qui lui permet d’accéder à cette conversation) en transmet une copie à la direction d’Alten. Quelques semaines plus tard, l’entreprise licencie ses trois salariés rebelles pour « incitation à la rébellion » et « dénigrement de l’entreprise ».
Facebook : encore un lieu de discussion privé ?
Si un des employés mis à la porte a accepté un accord amiable avec l’entreprise, les deux autres ont eux décidé de l’assigner devant les prud’hommes. Car pour fonder ces licenciements, Alten s’appuie sur des propos privés tenus sur le temps libre des employés et par le biais de leur ordinateur personnel.
Néanmoins, l’affaire n’a pu être tranchée par le conseil des Prud’hommes de Boulogne-Billancourt, les conseillers étant partagés. Une prochaine audience se déroulera à une date non déterminée, cette fois devant cinq conseillers, le cinquième étant issu du corps de la magistrature.
« C’est la porte ouverte à la délation. Si à l’avenir, on peut être licencié pour des propos tenus sur Facebook, c’est la vie privée qui est menacée », a déclaré à l’AFP Grégory Saint-Michel, l’avocat des plaignants.
120 acteurs sur le marché de l'e-réputation …
En moins d’une dizaine d’années, le marché de l’e-réputation s’est structuré autour de deux types d’acteurs. D’un côté les entreprises issues de l’intelligence économique, plutôt axées sur les performances technologiques, de l’autre, celles issues de la communication, davantage portées sur l’analyse. A mesure que les investissements média des entreprises se déportent sur le Web, les acteurs issus de la communication ont pris le pas sur ceux issus de l’intelligence économique.
Quelques acteurs de l’e-réputation | |||||
Société | Type d’acteur | Chiffre d’affaires (année) | Références | ||
Human to Human | Agence de conseil en communication | 1,5 million d’euros (2008) | Bouygues Telecom, Castorama, RATP, E.Leclerc… | ||
OTO Research | Institut d’études | 696 000 euros (2008) | Johnson & Johnson… | ||
Opt’in Power | Agence de conseil en communication | 305 000 euros (2009) | NC. | ||
Linkfluence | Institut d’études | 600 000 euros (2009) | Evian, Ferrero, L’Oréal, Philips… | ||
Nurun | Agence digitale | 14,8 millions d’euros (2008) | Belambra, Kellog’s… | ||
Source : Journal du Net |
Aujourd’hui, le marché français est composé d’environ 120 acteurs. […]
Car l’explosion de la demande pour la gestion de l’e-réputation est notamment due à la mutation profonde du métier des groupes de communication ou des agences de relations publiques et relations presse. A mesure que les investissements média se déportent sur le Web, les acteurs de la communication ont dû développer un certain savoir-faire pour en mesurer les retours et préconiser de nouvelles actions en ligne, comme des opérations de buzz.
http://www.journaldunet.com/ebusiness/marques-sites/marche-de-l-e-reputation/les-acteurs.shtml
Influence et réputation sur Internet …
En 2009, le réseau social Facebook a dépassé les 350 millions de membres dans le monde, ; il pourrait doubler en 2010.
Ce succès du Web social dépasse la sphère privée et touche aussi le monde économique. […]
Les nettoyeurs du Net …
Quand on tape sur Google »Paul Lambert » (le nom a été changé à la demande de notre interlocuteur), la première page de résultats affiche une liste de textes informatifs sur l’usine de biocarburants qu’il a créée en Italie. Les clients, les fournisseurs, les candidats à l’embauche et les concurrents qui cherchent à se renseigner sur cet homme d’affaires découvrent un site d’entreprise très bien fait, des articles élogieux sur ses procédés innovants, des évaluations signées par des experts en marketing et en développement durable.
Or, il y a quelques mois, la situation était très différente. Sur les dix premiers résultats Google, six étaient des documents rappelant que, dans les années 1980 et 1990, l’homme était un trafiquant d’armes international, et qu’il avait été mêlé à deux scandales politico-financiers. A l’époque, il avait même écrit un livre sur son métier. Puis il s’était expatrié et avait refait sa vie.
Par quel miracle, en quelques mois, « Paul Lambert » s’est-il refait une virginité numérique ? Il a fait appel aux services de Hington & Klarsey, une jeune agence basée en Angleterre, spécialisée dans la gestion de la « e-reputation ». L’équipe, qui réunit des informaticiens, des juristes et des gens de communication, a mis au point un procédé très efficace. Elle mène des recherches pour identifier les auteurs des textes visés et les responsables des sites qui les publient. Puis elle leur demande de supprimer les contenus compromettants, ou au moins de les modifier, en remplaçant le nom de leur client par ses initiales. Xavier Desfeuillet, directeur exécutif de Hington & Klarsey, se dit partisan de la manière douce : « Nos arguments sont avant tout d’ordre moral. Nous expliquons aux éditeurs que ces informations sont sans valeur, car obsolètes. Elles nuisent à notre client sans rendre service à quiconque. » Ainsi, il réussit à convaincre le quotidien L’Humanité de supprimer de ses archives en ligne un article sur son client, datant de 1993.
Bien sûr, ce système est imparfait. L’une des affaires impliquant « M. Lambert » fut évoquée lors d’une enquête parlementaire, dont le compte rendu reste publié sur un site officiel. Par ailleurs, des blogueurs militants, qui ont republié certains articles et rédigé des commentaires, refusent de les effacer, et s’insurgent contre cette forme de censure.
Dans d’autres cas, l’agence ne parvient pas à identifier les propriétaires du site, ou n’obtient aucune réponse car ils vivent dans un pays lointain. Certains essaient aussi d’extorquer de l’argent pour effacer un contenu dérangeant. Quand le « nettoyage » s’avère impossible, les agences ont recours à une autre technique, le « noyage » : on neutralise les documents gênants en les faisant reculer dans la hiérarchie des résultats des moteurs de recherche. Qui se soucie de ce que Google publie en quatrième ou en cinquième page ?
L’agence crée alors une série de sites dont l’adresse contient le nom du client, ce qui les propulse en tête du classement. Pour plus de crédibilité, elle leur accole des mots-clés comme « news », « market » ou « audit » … Il faut ensuite les remplir de « contenu positif » rédigé dans un style neutre et professionnel, souvent accompagné de photos et de vidéos. Vient enfin l’étape cruciale du référencement : l’agence possède des centaines de pages Web apparemment indépendantes, dont la fonction essentielle est de publier des liens en direction des sites dont on veut faire la promotion. Ceux-ci sont alors repérés en priorité par les algorithmes de Google.
Ces prestations haut de gamme sont réservées aux chefs d’entreprise, aux stars du show business et aux hommes politiques, car elles peuvent coûter des dizaines de milliers d’euros. Pour les citoyens ordinaires, d’autres agences proposent des services plus modestes, à des tarifs abordables. Aux Etats-Unis, la gestion de « e-reputation » est en train de devenir une industrie, fonctionnant sur le modèle des compagnies d’assurances. Pour un abonnement de 15 dollars par mois, la société californienne Reputation Defender effectue ainsi sur Internet une veille permanente pour le compte de ses clients. A chaque fois que leur nom ou leur photo apparaît sur un nouveau site, elle les avertit. Si le client estime que ce contenu est dérangeant, la société lance une offensive pour le faire effacer. Elle facture 29 dollars par document supprimé.
Michael Fertik, le patron de Reputation Defender, affirme posséder plusieurs milliers de clients modestes : psychologue accusé d’avoir acheté son diplôme, parents découvrant que leur fils raconte des secrets de famille sur des forums… Il note aussi la multiplication des affaires impliquant des images. La mode des photos érotiques prises dans l’intimité du couple se répand dans la jeunesse occidentale. Quand la passion s’estompe, les images restent à l’abandon sur un disque dur, mais en cas de crise ou de dispute, elles surgissent au grand jour : par vengeance, des hommes éconduits ou trompés les affichent sur Internet. Parfois, la femme contre-attaque en publiant des textes assassins sur son compagnon. Du coup, les deux parties deviennent clientes de Reputation Defender.
En France, une start-up baptisée Reputation Squad vient de se lancer sur le même créneau. Parmi ses premiers clients, un homme qui fut victime d’une escroquerie, largement couverte par les médias. Des années après l’affaire, son nom figure toujours dans de nombreux articles sur Internet. Personne ne lui reproche rien, mais il exècre ce statut d’éternelle victime.
Quand les documents sont diffamatoires ou attentatoires à la vie privée, les agences peuvent utiliser des méthodes plus musclées. La société parisienne Les Infostratèges n’hésite pas à envoyer aux blogueurs et modérateurs de forums des rappels à la loi et des menaces de poursuites. Avec les sites des médias classiques, c’est plus compliqué, mais Didier Frochot, le juriste des Infostratèges, imagine déjà une réforme ambitieuse : « Les sites officiels comme Legifrance (qui publie sur Internet les arrêts de différents tribunaux) anonymisent leurs archives au bout de deux ans, pour accorder aux justiciables un droit à l’oubli. Les médias devraient faire la même chose. S’ils n’arrivent pas à s’autodiscipliner, il faudra faire voter une loi contraignante. » M. Frochot a saisi la CNIL de cette question, sans résultat à …