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Articles taggués ‘géolocalisation’

Microsoft nie les accusations d’espionnage via géolocalisation …

Posté par Arnaud Pelletier le 7 septembre 2011

Microsoft est sous le feu des critiques, au même titre que Apple et Google.

 

La géolocalisation cause bien des soucis aux fabricants d’OS. Après Apple et Google, c’est au tour de Microsoft de se faire accuser de jouer les Big Brothers, avec une plainte déposée la semaine dernière dans l’Etat de Washington. Lundi, l’entreprise s’est défendue via un communiqué: «Parce que nous n’enregistrons pas d’identifiant unique lorsque des données de géolocalisation sont transmises par l’appareil photo des Windows Phone, ces données ne peuvent pas être corrélées à un utilisateur spécifique», affirme Microsoft.

Selon la plainte, Windows Phone transmet en effet des données géolocalisées à Microsoft lorsqu’un utilisateur prend une photo. Ceci sans message d’avertissement. Mais comme Apple et Google, Microsoft joue la carte de l’«anonymisation» des données pour se défendre.

Dans l’absolu, Apple, Microsoft et Google auraient gros à gagner à pouvoir enregistrer de telles données en les associant à chaque utilisateur, notamment pour proposer de la publicité ciblée et géolocalisée.

[…]

Par P.B. pour 20minutes.fr
En savoir plus :

Les données personnelles permettent à la publicité ciblée d’être plus pertinente, et donc de rapporter plus aux développeurs qui acceptent de les livrer.

Localisation, âge, sexe, identifiants : la plupart des applications sur téléphone mobile envoient des données privées à des régies publicitaires sans que l’utilisateur en soit informé, selon une enquête du Wall Street Journal. Sur 101 applications populaires étudiées par le journal américain, moitié sur iPhone, moitié sur Android, 56 transmettent l’identifiant unique du téléphone, 47 donnent la localisation de l’utilisateur, et 5 livrent l’âge et le sexe du mobinaute sans qu’il se doute de rien.

[…]

IMPOSSIBLE DE DÉSACTIVER LE TRAÇAGE

Le Wall Street Journal pointe deux faiblesses dans la protection de la vie privée des mobinautes : l’impossibilité de désactiver a posteriori le traçage, et l’absence d’obligation pour les applications de disposer de règles de confidentialité, aussi bien sur l’Apple Store que sur l’Android Market.

Sur les 101 applications testées, 45 n’ont aucune règle de confidentialité, c’est-à-dire une déclaration écrite, consultable sur le site Internet de l’application ou dans le logiciel lui-même, indiquant comment sont traitées, utilisées et protégées les informations privées de l’utilisateur. Et si sur un ordinateur classique il est aisé de supprimer les cookies (qui contiennent des données de navigation) en quelques clics, la manœuvre est impossible sur un téléphone.

[…]

PROFILAGE POUR REVENUS PUBLICITAIRES

Ces données permettent à d’autres sociétés, comme Mobclix, de classer un utilisateur de smartphone dans 150 « segments » différents, allant du « militant écologiste » à la « femme au foyer ». Ainsi, explique le Wall Street Journal, le segment des « joueurs acharnés » est constitué par« des hommes âgés de 15 à 25 ans, ayant plus de 20 applications sur leurs téléphones, et passant plus de 20 minutes sur chacune d’entre elles ».

Grâce à ce profilage, la société peut proposer les publicités les plus adaptées à la cible, et le développeur de l’application peut améliorer ses revenus issus de la publicité. Selon le créateur de l’application DailyHoroscope sur Android, qui a refusé de livrer certaines données aux régies, la publicité ciblée, basée sur le lieu où se trouve l’utilisateur, rapporterait de deux à cinq fois plus que la publicité classique.

[…]

Par Le Monde.fr

En savoir plus :

http://www.lemonde.fr/technologies/article/2010/12/20/ces-donnees-privees-que-les-applications-mobiles-transmettent-a-votre-insu_1455982_651865.html#xtor=AL-32280265

Géolocalisation et CNIL …

Posté par Arnaud Pelletier le 2 novembre 2010

Géolocalisation des véhicules : la justice condamne un employeur qui n’a pas suivi les règles « informatique et libertés »

La cour d’appel de Dijon a estimé qu’un licenciement est infondé si l’employeur se sert d’un dispositif de géolocalisation non déclaré à la CNIL, à l’insu des salariés, pour prouver l’utilisation d’un véhicule de service à des fins personnelles.

Un employeur s’est aperçu, grâce au dispositif de géolocalisation installé à bord d’un véhicule de service, qu’un coursier utilisait ce véhicule à des fins personnelles. Le salarié a été licencié.

Saisi par le salarié, le conseil des prud’hommes a estimé que le licenciement était sans cause réelle et sérieuse puisque ce dispositif n’avait pas été déclaré à la CNIL. De plus, le salarié n’avait pas été informé de son installation. L’employeur a fait appel de ce jugement.

Le 14 septembre 2010, la cour d’appel de Dijon a confirmé le jugement du conseil des prud’hommes. Elle a considéré que, la note de service produite par l’employeur pour informer les salariés, était insuffisante puisqu’elle ne mentionnait pas l’existence du dispositif de géolocalisation. Elle a également constaté l’absence  de déclaration auprès de la CNIL. Le dispositif étant illégal, les preuves obtenues par son intermédiaire sont inutilisables.

La société a été en outre condamnée à payer 1 000 € à son salarié pour exécution déloyale du contrat de travail dans la mesure où les règles légales relatives à l’installation d’un dispositif de géolocalisation n’avaient pas été respectées.

Dès 2004, la chambre sociale de la Cour de cassation a estimé que, l’absence de déclaration auprès de la CNIL d’un système de contrôle par badges des entrées et des sorties du personnel, a pour conséquence d’interdire à  l’employeur de sanctionner un salarié qui refuserait d’utiliser un tel système.

De même, la Cour de cassation affirme constamment, concernant d’autres systèmes tels que la vidéosurveillance, que l’employeur ne peut mettre en œuvre un dispositif de contrôle de l’activité professionnelle sans en informer les préalablement les salariés.

[…]

La géolocalisation : information préalable des salariés …

Posté par Arnaud Pelletier le 18 octobre 2010

L’employeur ne peut pas utiliser les données de géolocalisation d’un salarié pour démontrer le caractère justifié d’un licenciement, si le dispositif n’a pas été préalablement et individuellement porté à la connaissance de ce dernier et s’il n’a pas été déclaré à la Cnil. Telle est la conclusion d’un arrêt de la cour d’appel de Dijon du 14 septembre 2010 qui considère qu’« attendu que les informations relatives à la conduite et à l’utilisation de son véhicule par l’intimé ayant été obtenues par l’employeur par des procédés dont la licéité n’est pas établie, les griefs qui en découlent ne sauraient être considérés comme avérés ».
Dans cette affaire, un coursier avait été licencié pour faute grave. On lui reprochait notamment d’avoir fait un usage personnel du véhicule de la société. Pour en apporter la preuve, l’employeur avait extrait les données du système de géolocalisation équipant ses véhicules. Or, pour que la preuve soit valide, l’article L. 1222-4 du code du travail prévoit qu’« aucune information concernant personnellement un salarié ne peut être collectée par un dispositif qui n’a pas été porté préalablement à sa connaissance ». Pour sa défense, l’employeur a produit des attestations de salariés vagues que la cour a rejeté au motif qu’elles n’évoquaient ni l’existence d’un système de géolocalisation ni la date d’information des salariés. Par ailleurs, l’employeur n’a apporté aucune preuve comme quoi il aurait respecté son obligation de déclarer à la Cnil ce traitement automatisé de données nominatives. La Commission a justement adopté une norme simplifiée (n° 51) qui porte sur les systèmes de géolocalisation des véhicules utilisés par des salariés.
La cour a, en revanche, refusé d’admettre que l’utilisation irrégulière d’un système de géolocalisation portait atteinte à la liberté fondamentale du salarié. Comme il ne disposait pas d’un véhicule de fonction mais d’un véhicule de service, il n’avait pas le droit de l’utiliser à titre personnel. Dans ces conditions, le suivi de ses déplacements, dans le cadre des dispositions légales, ne portait pas atteinte à sa vie privée ni à sa liberté d’aller et venir.

Source :

http://www.legalis.net/

La géolocalisation des «amis» sur Facebook arrive en France …

Posté par Arnaud Pelletier le 4 octobre 2010

Depuis leurs smartphones, les membres de Facebook peuvent désormais indiquer où ils se trouvent. Et révéler la position de leurs amis, si ces derniers n’y prennent pas garde.

Facebook était déjà très bien informé sur les goûts et les amitiés de ses membres. Il pourra maintenant aussi tout connaître de leurs déplacements. Depuis jeudi, son nouveau service de géolocalisation, Facebook Lieux, a été activé en France, un mois après son lancement aux Etats-Unis.

Facebook Lieux fonctionne sur la base du volontariat. Quand ils le souhaitent, les membres du site peuvent indiquer l’endroit où ils se trouvent depuis l’application iPhone de Facebook ou le site optimisé pour les smartphones. Leur positionnement est obtenu grâce à la puce GPS présente dans de nombreux téléphones, ou par un procédé de triangulation, qui devine grossièrement l’endroit où l’on se trouve selon sa position par rapport aux antennes GSM.

Un puissant outil marketing

[…]

• Qui peut voir mes localisations dans son flux d’actualités

Par défaut, seuls ses amis peuvent voir les endroits où l’on se localise. Un réglage permet de partager également cette information aux amis de ses amis, à tout le monde, ou de la restreindre à certaines personnes (Personnaliser les paramètres » Lieux dans lesquels j’indique me trouver). Vos lointaines connaissances n’ont pas forcément besoin de savoir où vous partez en vacances.

• Qui peut voir me voir dans chaque lieu

En cliquant sur chaque lieu (un restaurant, un hôtel, etc.), on y retrouve la liste des membres de Facebook qui s’y sont signalés récemment, même s’ils ne figurent pas dans nos amis. Pour plus de confidentialité, on pourra choisir de s’ôter de ces listes (Personnaliser les paramètres»M’inclure dans la liste des personnes présentes).

• Qui peut me localiser avec lui

[…]

Par Benjamin Ferran pour Le Figaro.fr

En savoir plus :

http://www.lefigaro.fr/web/2010/09/30/01022-20100930ARTFIG00614-la-geolocalisation-des-amis-sur-facebook-arrive-en-france.php

La géolocalisation, jusqu'où va-t-elle nous mener ?

Posté par Arnaud Pelletier le 11 juin 2010

TGV Magazine – La géolocalisation, jusqu’où va-t-elle nous mener ?

Pour son numéro de mai 2010, Arnaud PELLETIER, Directeur de l’Agence Leprivé, détective, enquête et investigation, participe, dans une interview, à un article de TGV Magazine sur la géolocalisation :

Equipant quasiment tous les téléphones portables, le GPS est devenu un élément incontournable du quotidien…

SOURIEZ VOUS S ÊTES TRAQUES

Mais, au-delà des multiples services apportés, la possibilité d’être suivi 24h/24 pose de nombreuses questions d’éthique et de sécurité.
C’est l’histoire d’un homme assis à la terrasse d’un café. Il lui vient l’idée, somme toute banale, d’indiquer sa position géographique depuis son téléphone portable, grâce à l’application Google Latitude. Quelques minutes plus tard, déboule un vieux copain de fac: «Je viens de voir sur internet que tu étais dans le coin. Je basse Juste â cité. C’est fou ! Magique?  Pas vraiment.
Alors qu’il fallait envoyer une dizaine de SMS pour espérer rameuter quelques intimes, il y a encore un an. Il suffit aujourd’hui d’autoriser le GPS de son stnartphone (ces « téléphones intelligents » qui offrent un accès à Internet, tels que les iPhone, BlackBerry, Palm, .Android, etc.) à calculer sa position géographique, Simple et efficace. Pour les start-up, les perspectives sont alléchantes : elles multiplient ainsi les applications géolocalisantes qui permettent de repérer, stations-service, places de parking à proximité, voire de retrouver un téléphone égaré. A la fois ludiques et utiles, ces services connaissent un succès impressionnant. Foursquare (voir encadré Fotusquare, mieux que Facehook?, P 36) propose, par exemple, à ses joueurs d’accumuler des points en s’identifiant dans certains lieux (cafés, restaurants, théâtres, etc.), afin de gagner en popularité parmi les membres. Après un an d’existence, ce jeu rassemble déjà presque un million d’inscrits! Une performance qui fait saliver Gowalla et Brightkite. De son côté, le petit Français Dismoioù permet de récupérer les bonnes adresses de ses contacts et de gagner des réductions dans les lieux situés dans le champ d’action de son mobile.
Chez les mastodontes Google, Twitter et Facebook, la géolocalisation trace aussi sa route.  Alors que les deux premiers ont inauguré leur service en 2009, les créateurs du second planchent sur leur propre système. Il faut dire que, sur quatre cents millions […]

En savoir plus :

mai 2010http://www.leprive.biz/…

Lemonde.fr

Scotland Yard et l’association britannique de lutte contre la criminalité Crimestoppers ont lancé lundi 17 mai un site Internet qui permet de retrouver les personnes recherchées dans chaque quartier de Londres, afin d’aider la police à les appréhender.

La police métropolitaine londonienne, Scotland Yard, et l’association britannique de lutte contre la criminalité Crimestoppers ont lancé lundi 17 mai un nouveau site Internet qui permet de retrouver les personnes recherchées dans chaque quartier de Londres, afin d’aider la police à les appréhender.

Le site interactif permet de cliquer sur n’importe quel arrondissement londonien et d’avoir la liste des personnes recherchées qui y avaient leur dernière adresse connue ou qui, par exemple, se sont enfuies d’une prison située à cet endroit. S’affiche alors une page avec photos et détails, notamment sur l’âge et les raisons pour lesquelles la personne est recherchée. Un numéro vert est également inscrit, afin de contacter la police pour lui donner d’éventuelles informations. Une recherche par type de crime (vol, agression sexuelle, meurtre, etc.) est aussi possible.

« La police travaille sans relâche afin d’appréhender des personnes qui se sont rendues coupables de crimes ou qui sont soupçonnées de crimes, mais nous  […]

En savoir plus :

http://www.lemonde.fr/europe/article/2010/05/17/scotland-yard-lance-un-site-pour-geolocaliser-les-criminels_1353018_3214.html#xtor=RSS-3208

Géolocalisation : vous êtes ici …

Posté par Arnaud Pelletier le 14 mai 2010
Par Judith Lachapelle, La Presse
Pas besoin d’embaucher un détective pour suivre des gens pas à pas. L’engouement que suscitent les applications de géolocalisation sur les téléphones intelligents pousse les utilisateurs à diffuser beaucoup de renseignements à leur sujet. Beaucoup trop?
Pour en savoir plus
Pierre Trudel

Depuis quelques mois, les applications comme FourSquare ou Gowalla permettent à leurs utilisateurs d’indiquer rapidement et facilement à leur réseau d’amis («amis» étant un concept assez vague) à quel endroit ils se trouvent. Plus besoin de téléphoner pour demander le classique: «T’es où?» La géolocalisation dit tout: le frérot mange au resto, le copain est encore au boulot, maman est coincée dans la circulation… Et ainsi de suite.

L’application permet aussi d’afficher non seulement les bons restos dans un rayon rapproché, mais aussi les commentaires et l’identité des utilisateurs qui les fréquentent. Une option notamment fort utile en voyage.

[…]

Allo, les voleurs!

Stéphane Bousquet s’est intéressé à FourSquare au cours de l’hiver. Il s’est mis à annoncer qu’il était à la garderie de ses enfants, qu’il se trouvait à la gare ou qu’il allait manger à tel resto. FourSquare étant lié à son compte Twitter, ses 500 abonnés ont tous reçu en même temps des nouvelles de ses déplacements.

Puis, trois semaines plus tard, il est tombé sur le site PleaseRobMe (SVP, cambriolez-moi). En consultant les annonces FourSquare publiées sur Twitter, les auteurs du site indiquait publiquement que tel internaute était hors de chez lui à tel moment. Une aubaine pour les voleurs… (PleaseRobMe, qui visait justement à démontrer les dangers du partage de renseignements personnels, a depuis cessé ses activités.)

[…]

Outil utile pour vie de fou

Ébranlé par la démonstration, Stéphane Bousquet a diminué le nombre d’annonces de ses déplacements sur Twitter et réduit le cercle de ses abonnés FourSquare à sa famille et ses amis proches. N’empêche: mercredi matin, par exemple, il a annoncé à ses 500 abonnés Twitter qu’il se trouvait à la gare avant de se rendre à une conférence, rue Mansfield, au centre-ville…

[…]

En savoir plus :

http://technaute.cyberpresse.ca/nouvelles/internet/201004/24/01-4273842-geolocalisation-vous-etes-ici.php

Géolocalisation, réseaux sociaux et droit …

Posté par Arnaud Pelletier le 17 mars 2010

On ne saurait être à la fois au four et au moulin : géolocalisation, réseaux sociaux et droit.

Marie-Andrée Weiss

Avocate au Barreau de New York

Les internautes ont récemment fait les gorges chaudes d’un site américain, Please Rob Me, qui informait ses visiteurs lorsqu’un utilisateur du site Foursquare venait de quitter sa maison, et que celle-ci était désormais vide et prête à être cambriolée. Le véritable but des créateurs de Foursquare, comme indiqué sur le site, n’était pourtant pas d’inciter les internautes à un comportement délictueux, mais bien de les avertir des risques pris en publiant sur Internet leur localisation géographique. Le site est désormais désactivé, et ses créateurs souhaitent qu’une organisation reprenne le flambeau afin d’éduquer les internautes sur le danger de publier trop d’informations personnelles sur Internet.

Ce risque est bien réel : de jeunes Californiens ont pu cambrioler l’an dernier les villas de plusieurs célébrités (entre autres Paris Hilton et Orlando Bloom) en regroupant des données trouvées sur divers sites Internet. Des sites consacrés aux potins les avertissaient que telle célébrité se trouvait ce soir-là hors de sa maison, tandis que d’autres sites leur permettaient de localiser la maison de la vedette en goguette.

[…]Qu’adviendrait-il si un employeur utilisait les données de géolocalisation qu’un employé poste volontairement sur un site de réseau social afin de surveiller celui-ci ? Il s’agirait sans nul doute d’une collecte de données à caractère personnel, et l’article 2 de la loi du 6 janvier 1978 précise bien qu’il y a traitement « quel que soit le procédé utilisé ». L’article 6-1° de la loi de 1978 dispose que les données doivent être collectées de manière loyale et licite. Est-ce loyal et licite d’utiliser des données librement mise en ligne par un internaute ? Certes non, puisque l’internaute ne consent pas à ce que ses données de géolocalisation fassent l’objet d’un traitement.

[…]

En savoir plus :

http://www.legalbiznext.com/droit/On-ne-saurait-etre-a-la-fois-au

L'Agence Leprivé sur France 24 …

Posté par Arnaud Pelletier le 6 novembre 2009

Dans une interview accordée à France 24, Arnaud Pelletier, directeur de l’Agence Leprivé, société de détectives, d’enquêtes et d’investigations, nous informe et alerte sur la réalité de la géolocalisation par téléphone portable ainsi que les dérives possibles. Un fois de plus, l’utilisation des nouvelles technologies, pratiques et ludiques, peuvent aussi, dans certain cas être une entrave aux libertés individuelles dans le cadre de la vie privée. Alors attention aux utilisations et les détournements possibles de tous ces nouveaux outils que sont les réseaux sociaux, bloging, microbloging, géolocalisation, messagerie instantanée, etc.

Voir le reportage de France 24 sur l’utilisation de la géolocalisation :

L’objectif de ce blog créé en 2006, qui n’est pas à proprement parler un blog puisque je ne donne que très peu mon avis, est d’extraire de mes veilles web informationnelles quotidiennes, un article, un billet qui me parait intéressant et éclairant sur des sujets se rapportant directement ou indirectement à la gestion de l’information stratégique des entreprises et des particuliers.
Depuis fin 2009, je m’efforce que la forme des publications soit toujours la même ; un titre, éventuellement une image, un ou des extrait(s) pour appréhender le sujet et l’idée, l’auteur quand il est identifiable et la source en lien hypertexte vers le texte d’origine afin de compléter la lecture.
En 2012, pour gagner en précision et efficacité, toujours dans l’esprit d’une revue de presse (de web), les textes évoluent, ils seront plus courts et concis avec uniquement l’idée principale.
En 2022, les publications sont faite via mon compte de veilles en ligne : http://veilles.arnaudpelletier.com/
Bonne découverte à tous …


Arnaud Pelletier

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