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10 conseils pour rester Net sur le Web (CNIL) …
Martin Vidberg, dessinateur, célèbre pour son blog L’actu en patates signe les illustrations de la nouvelle affiche pédagogique de la CNIL : 10 conseils pour rester Net sur le Web à destination des enfants, parents, enseignants et animateurs multimédia (voir une copie de l’affiche en fin d’article).
- Les 10 conseils
Les 10 conseils pour rester Net sur le Web sont donc accompagnés des dessins de Vidberg :
- Réfléchis avant de publier
- Respecte les autres
- Ne dis pas tout
- Sécurise tes comptes
- Crée-toi plusieurs adresses e-mail
- Attention aux photos et aux vidéos
- Utilise un pseudonyme
- Attention aux mots de passe
- Fais le ménage dans tes historiques
- Vérifie tes traces
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Par la rédaction de netpublic.fr
En savoir plus :
Les dangers du net : conseils et recommandations pour protéger les jeunes …
« Utilise un pseudonyme », « attention aux photos », « ne dis pas tout »… La Cnil et de nombreux sites et associations sensibilisent parents et enfants aux dangers du web.
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L’association e-Enfance, reconnue d’utilité publique et agréée par le ministère de l’Education nationale, sensibilise dans l’espace scolaire les élèves aux bons usages de la Toile, de l’école primaire au lycée.
Un Numéro vert (0-800-200-000, gratuit depuis un poste fixe), et le site Net écoute permettent de se renseigner en cas de problème. Un conseiller y est disponible du lundi au vendredi de 9 heures à 19 heures pour écouter, anonymement, jeunes, parents, enseignants, conseillers d’éducation ou infirmières scolaires.
- Une vidéo interactive (ci-dessous) expose très clairement les risques courus par les adolescents sur internet.
[…]
Par Agathe Logeart pour tempsreel.nouvelobs.com
En savoir plus :
Ma vie privée en ligne en BD …
BD romanesque : nouvel outil pour aider les jeunes Canadiens à mieux comprendre la vie privée en ligne.
La commissaire à la protection de la vie privée lance un nouvel outil pour aider les jeunes à naviguer en ligne en comprenant bien les risques liés à leur vie privée, il s’agit d’une bande dessinée romanesque intitulée Branchés et futés : Internet et vie privée.
La bande dessinée présente David et Annie, un frère et une sœur qui arrivent dans leur nouvelle école en constatant que des étudiants qu’ils n’ont jamais rencontrés savent déjà plusieurs choses à leur sujet grâce à leurs pages sur des réseaux sociaux.
Guidés par un téléphone intelligent parlant, David, Annie et leurs camarades apprennent que leurs choix influent sur leur réputation. Au fil de l’intrigue, ils acquièrent une meilleure compréhension de ce qui se passe « dans les coulisses » et des moyens pour réduire les risques à la protection des renseignements personnels que posent les sites de réseautage social, les appareils mobiles et le jeu en ligne.
[…]
Par La commissaire à la protection de la vie privée sur blog.youthprivacy.ca
En savoir plus :
45% des Français espionnent sur Facebook …
A lire sur elle.fr :
Avis aux ados ! Si vous avez un compte sur un réseau social – en l’occurrence Facebook -, il se peut fortement que vos parents essayent de vous espionner. C’est ce qu’il ressort d’une enquête réalisée par la société de sécurité AVG* et publiée par le JDD selon laquelle 45% des Français ont déjà accédé au compte Facebook de leur enfant sans leur demander leur autorisation. Une démarche facilitée par le fait que 72% des parents connaîtraient le mot de passe de leurs enfants sur ce réseau social, précise par ailleurs une seconde étude, réalisée cette fois-ci par le Journal du Dimanche.
« Parce que nous sommes dans un contexte de panique morale qui génère de l’angoisse, les parents cherchent des stratégies pour vérifier que leurs enfants ne font pas tout et n’importe quoi », commente la sociologue Laurence Le Douarin
[…]
En revanche, d’après la société de sécurité AVG, ce ne sont pas les parents français qui sont les champions de l’espionnage : en effet, 54% des pères et mères au Canada et en Italie font régulièrement des intrusions sur le profil Facebook de leur ado. Et ce sont les Etats-Unis et l’Espagne qui se disputent la première place avec 61% !
* Cette étude a été menée dans onze pays auprès de 4 400 personnes qui ont des enfants âgés de 14 à 17 ans
Par S.C. pour elle.fr
En savoir plus :
source http://www.elle.fr/Maman/News/45-des-Francais-espionnent-leur-ado-sur-Facebook-2001218
Un logiciel pour « surveiller » sur Facebook …
Les moyens d’espionnage sur Internet se multiplient et connaissent un succès grandissant depuis plusieurs années.
Cette fois-ci, il ne s’agirait pas d’espionner mais de protéger son enfant, sans violer son intimité. C’est en tout cas comme cela que l’entreprise présente SocialGuard, son logiciel de « surveillance ».
- Il faut posséder le mot de passe du compte Facebook de son enfant
Le fonctionnement est simple : SocialGuard envoie des avertissements aux parents dans plusieurs situations « sensibles ». Lorsque leur enfant est contacté sur son compte Facebook par une personne plus âgées par exemple, ou encore s’il est victime d’insultes etc.
Avant cela, il suffit d’installer le logiciel sur son PC (pas de version macintosh pour le moment), puis d’entrer le mot de passe du compte Facebook de son enfant, et le tour est joué.
Pas besoin d’avoir soi-même un compte Facebook, pas besoin non plus d’être « ami » avec son ado sur le réseau social.
- Alors pourquoi payer ?
[…]
- Comment ça marche ?
Comment SocialGuard fonctionne exactement ? Un test publié sur Le Matin nous en apprend un peu plus.
Un compte factice a d’abord été créé (Sophie, adolescente imaginaire de 14 ans). Et quand Pascal, 43 ans, lui a demandé d’être son ami, SocialGuard a de son côté envoyé un e-mail d’avertissement : « Pascal prétend avoir 43 ans dans son profil. L’âge déclaré de Pascal est au-dessus de l’âge limite [personnalisable : NDLR] que vous avez réglé pour Sophie. »
Un autre test, cette fois avec le compte de Bernard, 16 ans (un pédophile imaginaire qui aurait menti sur son âge) qui envoie un message privé à Sophie. Là aussi, un avertissement : « Sophie et Bernard n’ont aucune connaissance commune sur Facebook ».
- De la surveillance à l’espionnage
Le Matin explique que le logiciel veille également au contenu des messages et des commentaires postés sur le « mur » des enfants surveillés.
Si une insulte est envoyée : un avertissement est lancé. Le logiciel comprend même une identification des insultes en anglais, puisque les termes « retard » et « tard » sont signalés (qui signifient « crétin », « débile »).
La liste de mots-clefs est d’ailleurs personnalisable.
Mais le logiciel ne s’arrête pas là. Il repère les liens postés vers des sites au contenu jugé dangereux : pornographie, alcool, drogue etc. Une surveillance tellement poussée qu’on pourrait presque se demander si SocialGuard ne viendrait pas d’inventer l’espionnage moral.
Par la rédaction pour lepost.fr
En savoir plus :
Une application de plus pour pister ses proches …
Surtout destinée aux ados, l’application est censée permettre de géolocaliser le portable sur lequel elle est installée.
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Une société propose depuis cette semaine un service présenté comme un système de géolocalisation des adolescents par leurs parents grâce à une application pour téléphone portable, rapporte « Le Parisien » du mardi 20 septembre : http://www.leparisien.fr/laparisienne/maman/si-on-peut-pister-son-ado-20-09-2011-1616270.php
Baptisé « MapMyMobile », ce petit programme s’installe sur le téléphone portable de la personne que l’on veut suivre. L’utilisateur pourra à partir de ce moment localiser le téléphone sur un plan ou sur une vue satellite type Google Map.
Historique de déplacements
Les parents ont également la possibilité de consulter l’historique des déplacements de leurs enfants. Ils pourront même décider de zones pour lesquelles ils recevront un alerte par SMS ou email lorsque le téléphone « pisté » y entre ou en sort. Le service est facturé 7,90 euros pour deux mois ou 19 euros par trimestre et fonctionne sur les téléphones sous Androïd et BackBlerry.
Grâce à cette application, « on peut savoir à tout moment où est son ado, s’il est entré ou sorti du collège, s’il dort bien chez son copain après sa sortie en boîte », explique au « Parisien » Daniel Vassallucci, PDG la société qui commercialise « MapMyMobile », Mapping Control.
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Si le but affiché est d’assurer la sécurité de ses enfants, se pose la question des détournements possibles de cette technologie. La société Mapping Control précise pourtant dans ses conditions générales que l’utilisateur s’engage à utiliser son application dans un cadre familial. Reste, même dans ces conditions, que « MapMyMobile » sera l’outil idéal pour traquer, par exemple, son conjoint…
Par Jérôme Hourdeaux pour nouvelobs.com
En savoir plus : http://hightech.nouvelobs.com/actualites/20110920.OBS0706/une-application-pour-pister-ses-proches.html