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Articles taggués ‘influence’

Influence : les éminences grises du business …

Posté par Arnaud Pelletier le 5 juillet 2010

capital.fr

L’argus des éminences grises du business

Ils aident les P-DG sur la sellette, font et défont les réputations… En quelques années, ces conseillers de l’ombre ont pris une place considérable dans la vie des affaires. Mais leur cote fluctue et certains sont déjà en disgrâce. Revue des effectifs.

Pas de doute, celui-là sait y faire pour soigner sa cote. A tu et à toi avec les chiraquiens avant la présidentielle, Alexandre Djouhri avait entre autres joué les émissaires en Arabie saoudite pour son ami Dominique de Villepin, alors Premier ministre. Sa mission ? Tenter de débloquer un très gros contrat militaire convoité par Thales et EADS. Logiquement, ce très discret homme d’affaires franco-algérien devrait aujourd’hui raser les murs. Eh bien, pas du tout…

Loin d’être tombé en disgrâce, il a toujours ses entrées à l’Elysée. Claude Guéant, le secrétaire général, écoute volontiers ses conseils et avoue le trouver «ultrasympa». Djouhri entre sans frapper dans le bureau du patron d’EDF, Henri Proglio, un intime depuis l’époque de la Générale des eaux. Il tutoie Serge Dassault, qu’il appelle «Sergio», et fait la bise en public à son vieil ami Yazid Sabeg, patron de la société CS Communication et Systèmes, dont il vante les mérites en haut lieu pour remplacer Anne Lauvergeon à la tête d’Areva. A l’argus des éminences grises, Alex, comme l’appellent ses amis, s’affiche en hausse.

Tous ceux qui murmurent à l’oreille des patrons et des politiques ne peuvent pas en dire autant. Ces conseillers de l’ombre, aussi influents que discrets, font un métier à risques. Négociateurs officieux, consultants en stratégie ou seigneurs de la communication, ils ont des profils très différents, mais au moins un point commun : à tout moment, ils peuvent dégringoler du podium et perdre, provisoirement ou pour toujours, les faveurs d’un P-DG ou d’un ministre en vue, et les émoluments qui vont avec. Ou au contraire surfer sur la vague médiatique, comme Stéphane Fouks et Ramzy Khiroun, qui pilotent au jour le jour, avec deux autres consultants d’Euro RSCG, la communication de Dominique Strauss Kahn, objet d’une demi-douzaine de livres en préparation.

Il y en a un qui n’est plus très en cours, c’est Jean-Noël Tassez, ancien patron de RMC devenu lobbyiste et spécialiste de la communication d’influence avec sa société Astorg Conseil. Condamné dans l’affaire de l’Angolagate pour avoir reçu près de 200 000 euros du principal protagoniste, Pierre Falcone, ce proche de l’ex-ministre des Finances Thierry Breton (aujourd’hui patron d’Atos Origin) et ami de Brice Hortefeux a aussi perdu, avec la mort de l’ex-président du Gabon, Omar Bongo, l’un de ses principaux […]

En savoir plus :

http://www.capital.fr/enquetes/hommes-et-affaires/l-argus-des-eminences-grises-du-business-512255

Comment booster sa carrière sur LinkedIn …

Posté par Arnaud Pelletier le 30 juin 2010

Comment booster sa carrière? Être ami avec Bill Gates sur LinkedIn !

Si vous avez des contacts célèbres ou importants parmi votre réseau sur LinkedIn, vous avez beaucoup plus de chances d’obtenir des entretiens d’embauche selon une étude de la Hogeschool-Universiteit Brussel (HUB) .

Les contacts sur LinkedIn: un facteur important pour 1 recruteur sur 3

Ralf Caers, chercheur et professeur à la HU Brussel a mené avec un étudiant une étude portant sur l’importance de l’influence des réseaux sociaux LinkedIn et Facebook sur les employeurs. Ils ont interrogé plus de 700 responsables du recrutement. La conclusion: un responsable du recrutement sur trois dans les entreprises flamandes est sensible à l’importance du réseau en ligne.

Bill Gates : garantie de compétence

« Nous ne pensions pas qu’ils seraient aussi nombreux à se laisser séduire par de faux jugements », dit Caers. « Prenons un spécialiste IT, par exemple, et disons qu’il a Bill Gates parmi ses contacts. Le recruteur se dit que ce spécialiste doit forcément être compétent. Le candidat est associé aux facultés de Bill Gates. C’est pourtant une erreur de jugement de tirer de telles conclusions de cette ‘amitié’. »

[…]

Juger d’après les photos

Deux tiers des recruteurs recherchent également des informations pertinentes sur le profil LinkedIn, telles que les formations et les expériences professionnelles. Mais 44% visitent ensuite le profil Facebook du candidat afin d’en déduire des informations plus personnelles. Ils basent notamment leur jugement sur les photos affichées.

[…]

Texte: E.F. – Source: Intermediair.nl

En savoir plus :

http://www.references.be/carriere/comment-booster-sa-carri%C3%A8re-%C3%AAtre-ami-avec-bill-gates-sur-linkedin

L’élicitation en Intelligence Economique …

Posté par Arnaud Pelletier le 21 mai 2010
L’élicitation n’est pas un terme très usité en France mais c’est un véritable sujet de discussion pour les professionnels anglosaxons de l’intelligence économique. A la base, il s’agit d’une notion pluridisciplinaire qui représente l’ensemble des méthodes d’études et de recherche permettant d’obtenir la vérité d’un sujet d’observation.

Version politiquement correcte :  c’est l’art du questionnement dans le but de faire émerger ce que désire le sujet observé (parfois au delà de ce qu’il croit percevoir)

Version pas politiquement correcte : Il s’agit des techniques d’influences pour arracher à quelqu’un ce que l’on voudrait savoir de lui et qu’il n’est pas toujours enclin à révéler!

En Marketing :

Pour connaitre les gouts et les couleurs des consommateurs, le marketing utilise les techniques d’élicitation, type pensée spontanée (quel marque vous vient en premier, quel mot vous vient en premier pour décrire cette marque), type profilage de la psychologie des consommateurs. Le marketeur doit également définir le cadre ou l’organisation optimale de récupération de l’information qui varie selon l’information recherchée :

TECHNIQUES D’ELICITATION :

l’organisation de la collecte d’information :

la conduite de la collecte d’information :

Lors d’interviews, de questionnaires, de brainstorming en groupe, les marketeurs posent ainsi les questions suivantes :

    […]

    En Intelligence Economique :

    Les techniques d’élicitation peuvent également être très utiles en Intelligence Economique : On a souvent besoin de faire des « approches directes » c’est à dire contacter directement une personne, par téléphone, mail ou de vive voix, parceque les informations disponibles sur le web ou la presse ne suffisent pas. Les approches directes ont aussi un but de renseignement concurrentiel, par exemple : appeler une entreprise dans le cadre d’une étude de marché, appeler une boutique pour connaitre le prix d’un produit concurrent, faire parler un concurrent sur un salon… et je reste soft….

    CHOISIR SA CIBLE :

    Parier sur les anciens : Tout employé d’une entreprise même non partisan de son l’entreprise est instinctivement réticent à livrer des informations sur son entreprise. Par expérience, les personnes qui parlent le plus sont paradoxalement les plus anciennes,  soit parce qu’elles partent à la retraite ou mieux encore sont à la retraite, soit parce qu’elles ont du métier et veulent le prouver, ou encore parce qu’elles se sentent tout simplement plus de liberté et d’autonomie pour représenter l’entreprise (les directeurs ne sont pas les derniers à parler!).

    Jouer la compétence : il faut définir qui est susceptible d’être le mieux à même de vous donner l’information. Si vous chercher le nombre de vente de la boite ne joignez pas d’abord le marketing mais les commerciaux, si vous chercher quels sont le s fournisseurs d’un concurrent adressez vous aux acheteurs…

    astuce 1 : sautez l’obstacle du standard est essentiel, je dis souvent ceci : je fais une étude sur…. auriez vous une idée sur qui pourrait m’aidez sur ce sujet, peut être un acheteur. Soit le standard se sent dépasser et transfère l’appel au département achat ce qui évite d’avoir à répondre à « cet à quel sujet? » ou alors le standard à effectivement une idée et c’est toujours bon à prendre.

    astuce 2 : Si l’interlocuteur joint ne connais pas ou ne veut pas vous donner l’information, il est toujours intéressant de lui demander s’il connait en revanche quelqu’un qui serait susceptible de vous renseigner.

    CONNAITRE SA CIBLE ET SON SUJET :

    Ne pas foncer droit dans le mur et utiliser les informations recueillies précédemment. On dialogue mieux lorsque l’on connait bien le sujet, cela permet de rebondir sur les réponses. Par exemple, dans le cas d’une réponse contradictoire avec de précédent résultat ne pas hésiter à faire jouer le contraste : « c’est étonnant, d’autres m’ont donné ces résultats qu’en pensez vous ? ». Néanmoins, il faut la encore s’adapter à l’interlocuteur car il n’est pas toujours bon de paraitre comme un expert dans le domaine. Il faut parfois être comme Socrate et jouer la maïeutique. Ne jamais sous estimer le besoin des gens de prouver qu’ils savent, et qu’ils sont légitimes sur un sujet. laissez donc votre cible vous apprendre la vie …. et surtout […]

    CHOISIR SA COUVERTURE SI NÉCESSAIRE : c’est pas vraiment dans le code de la SCIP et la plupart du temps mieux vaut jouer franc jeux mais si ce n’est pas possible :

    Je vous déconseille de dire que vous êtes étudiant car étudiant = pas d’importance et perte de temps. vous pouvez être un acheteur potentiel, ou … non je ne le dirais pas!

    SAVOIR QUESTIONNER :

    La suprématie des questions ouvertes : une question ouverte, c’est l’inverse d’une question entrainant une réponse par oui ou non. c’est donc une question qui ce limite à un verbe et le sujet dans son ensemble : que pensez vous du marché en ce moment, comment sentez vous qu’il va évoluer ? comment

    Utiliser l’écoute active : est une méthode d’écoute développée par le psychologue Carl Rogers très utile et adaptable au renseignement commerciale.

    • Exclure ses propres idées préconçues et toute tentative d’interprétation,
    • Adopter une attitude physique de disponibilité,
    • Laisser autrui s’exprimer sans l’interrompre,
    • L’inciter à préciser le cours de sa pensée, lorsqu’elle est imprécise ou trop générale,

    […]

    Négocier : Selon votre cahier des charges, il peut être bon de livrer des informations recueillies à son interlocuteur pour le motiver à partager ses informations ou données.

    Influencer : Les techniques de l’influences telles que celles établies par ROBERT B. CIALDINI seront […]

    En savoir plus :

    http://www.openintelligences.com/?p=137

    Comment les lobbyistes utilisent Internet et les réseaux sociaux pour exercer leur rôle d’influence et de persuasion

    Les lobbyistes ont vite compris comment les outils disponibles sur Internet peuvent les aider à faire leur travail à moindre coût.
    Les « influenceurs » ont découvert toute la puissance d’outils comme Twitter et Facebook.
    Ils s’emploient à influencer sans en avoir l’air ou sans le dire en utilisant par exemple des comptes « personnels » sans mentionner les intérêts qu’ils peuvent avoir.
    L’article américain dit même « de manière difficile à détecter »… En effet… Pour certains…

    Les blogs et leurs commentaires et les Tweets sont en effet d’excellents supports pour véhiculer des idées, défendre des causes, etc. Ils peuvent laisser de grands flous et permettre d’exercer de l’influence sans laisser transparaître tout sur son identité, ses intérêts, les enjeux économiques derrière telle ou telle publication ou commentaire (est-ce réellement désintéressé, intéressé voire rémunéré ?)

    L’absence de distingo et de frontière claire entre qui vous êtes à titre personnel ou professionnel n’aide pas dans ce méli mélo d’opinions. La manière dont les interactions sont créées par ces technologies a également un impact fort en la matière.

    Les sociétés les plus avancées et fortes dans le domaine sont évidemment les sociétés « technologiques » (dont celles qui vous vendent ces outils de réseaux sociaux… Comme nous essayons de vous le faire savoir dans nos supports). Nous ajoutons un nombre incalculable d’acteurs qui ont des intérêts et vivent autour de ces outils. […]

    Marc JESTIN

    En savoir plus :

    http://www.networkers-in-the-city.com/blog/comment-les-lobbyistes-utilisent-internet-et-les-reseaux-sociaux-pour-exercer-leur-role-dinfluence-et-de-persuasion

    Deux guérilleros de la politique sur le Web dévoilent leurs secrets

    Fausses identités, infiltration au coeur du réseau des adversaires ou montages vidéo à charge: sur Internet, certains politiciens ont recours à des méthodes discutables pour influencer les électeurs. Leurs conseillers en communication ont mis au point des tactiques dignes des romans d’espionnage. Rencontre avec deux combattants de l’ombre qui travaillent pour un élu français.

    Alexandre Haederli
    Le Matin Dimanche


    Des marionnettistes. Voilà comment se présentent Mélanie* et Anthony*. Ces deux trentenaires gèrent chacun plusieurs dizaines de profils Facebook construits de toutes pièces. Le but? Manipuler l’opinion des internautes en faveur d’un homme politique.

    Si Barack Obama a popularisé l’utilisation des réseaux sociaux pour rallier un maximum de sympathisants et organiser le militantisme lors de la dernière présidentielle américaine, ses méthodes semblent déjà dépassées.

    Aujourd’hui, la guerre pour influencer les électeurs se déroule à l’abri des regards. Et tous les coups sont permis.

    Pour découvrir cette face cachée de la politique en ligne, nous avons rencontré Mélanie et Anthony qui travaillent en France – en Suisse, les partis politiques disent ne pas avoir recours à de telles méthodes. Ces professionnels de la communication gèrent l’identité en ligne d’un important politicien local. Ils postent des messages en son nom sur son site Internet, son profil Facebook ou Twitter. Mais ce n’est que la partie visible de l’iceberg. En sous-main, ils gèrent une cinquantaine d’identités virtuelles.

    Photos choisies au hasard
    «Ce sont comme des personnages, nous leur inventons une vie de A à Z», raconte Mélanie. Un nom fictif, un emploi bidon, une adresse e-mail créée pour l’occasion et surtout une photo pour illustrer le profil Facebook. «Les gens se méfient des pages qui n’en ont pas.» Pour en dénicher une, rien de plus facile: il suffit de se rendre sur n’importe quel site de partage de photos, comme Flickr.com, et d’en prendre une au hasard. «De préférence une image où la personne est relativement loin ou de dos. Ensuite, si nous créons un profil de militant écologiste, on l’inscrira à des groupes de défense de l’environnement ou à la section des Verts de sa région.» Pour rendre le tout encore plus vivant, ils lui imaginent même des goûts musicaux ou des loisirs.

    Enfin, pour qu’un profil soit influent, il faut qu’il soit relié à un maximum d’amis. Au dire de ces experts autodidactes, rien de plus simple: «Il faut faire plusieurs dizaines de demandes et, sur le nombre, il y a toujours des personnes qui acceptent», explique Anthony. Des gens qui acceptent d’être amis avec d’autres qu’ils ne connaissent pas? «Oui, cela peut paraître étonnant, mais c’est très fréquent. Et il y a encore plus fort: nos faux profils reçoivent des dizaines de messages pour leur souhaiter un joyeux anniversaire!» Crédules, mais pas avares en bons voeux, les internautes…

    Ces profils imaginaires peuvent remplir deux fonctions. D’une part, propager des informations favorables à l’homme politique: relayer son programme et ses idées. Une prise de position en faveur du droit de vote des étrangers, par exemple, sera diffusée dans des groupes à tendance socialiste. […]

    Noyer les commentaires négatifs
    «Cela demande juste un peu d’organisation pour s’y retrouver avec tous ces profils, poursuit Mélanie. Il faut absolument éviter de les relier entre eux.» Les deux spécialistes tiennent à jour un tableau récapitulatif de leurs multiples identités virtuelles avec les noms inventés et les mots de passe. «Nous avons ainsi accès en tout temps à tous les profils.» Parce que cette schizophrénie en ligne s’entretient, quasi 24 heures sur 24. «Chaque jour, nous faisons le tour de nos personnages pour répondre aux messages ou ajouter de nouveaux amis. Ça prend plusieurs heures, mais c’est indispensable pour qu’ils soient crédibles.»

    Et puis, il y a les commentaires négatifs que suscitent les messages qu’ils postent. «La règle est de ne jamais censurer, déclare Mélanie. Si vous supprimez un commentaire, cela crée immédiatement un tollé.» Les spécialistes préfèrent donc noyer les critiques sous un flot de commentaires positifs. «Facebook n’affiche que les deux derniers messages, poursuit la jeune femme. Si les gens veulent voir l’ensemble de la discussion, ils doivent cliquer. C’est une manière de […]

    Profils kamikazes
    Il arrive que des profils soient sacrifiés. Pour la bonne cause. «On les appelle des kamikazes, image Anthony. Leur but est de discréditer les politiciens adverses, quitte à faire perdre toute crédibilité à nos profils.» La manière douce, d’abord: après s’être fait passer pendant plusieurs semaines pour un partisan de droite, un personnage publiera sur un groupe un message du type: «Je croyais sincèrement aux promesses de cet élu UMP, mais je suis déçu par son attitude. Je ne voterai finalement pas pour lui.» En espérant insuffler le doute à d’autres électeurs, bien réels eux. La méthode plus trash, ensuite: «Il nous est arrivé de faire un montage vidéo peu flatteur d’un autre politicien en juxtaposant des extraits de discours», témoigne Anthony.

    Quelles limites se fixent ces activistes d’un nouveau genre? La question semble presque les surprendre. «Nous ne faisons rien d’illégal, rétorque Anthony après une seconde d’hésitation. Nous ne sommes jamais insultants, nous n’usurpons pas les identités de personnes qui existent vraiment. Et après tout, nous n’obligeons […]

    Est-ce grâce au combat de l’ombre mené par Mélanie et Anthony? L’homme politique pour lequel ils travaillent a été réélu lors de récentes élections locales.

    * Noms connus de la rédaction

    Lift 2010 démarre mercredi à Genève

    Les deux Français spécialistes de la guérilla politique sur Internet viendront raconter leur expérience lors de la conférence Lift 2010. Depuis 2006, Lift réunit une fois par an des pionniers et des innovateurs dans le domaine des nouvelles technologies à Genève. Cette année, du 5 au 7 mai, un millier de participants viendront écouter plusieurs dizaines d’intervenants s’exprimer sur le thème «Connected People». Parmi eux, Rahaf Harfoush, qui a participé à la campagne en ligne de Barack Obama en 2008, ou Catherine Lottier, qui imagine ce que seront les programmes de la chaîne de télévision française Canal Plus dans le futur.

    Programme complet sur www.liftconference.com

    Pour en savoir plus :

    http://www.lematin.ch/multimedia/high-tech/guerilleros-politique-web-devoilent-secrets-269737

    Lexique du renseignement, de l'information et de l'influence …

    Posté par Arnaud Pelletier le 2 avril 2010

    Un lexique utile pour les décideurs en entreprise, et tous ceux qui s’intéressent à l’intelligence économique au sens large.

    lexique de l'info
    De « A » comme acceptabilité du risque à « V » comme vulnérabilité, ce lexique apportera bien des réponses à tous ceux qui s’intéressent à la presse, la communication ou l’intelligence économique. L’auteur, qui n’oublie pas qu’il a été journaliste, rappelle les quelques notions de base […]

    Mais, surtout, travaillant désormais dans l’intelligence économique, Laurent Jacquet insiste sur ce nouveau secteur d’activité en pleine expansion où, souvent, le pire côtoie le meilleur. Ce n’est pas un hasard si ce livre est préfacé par Christian Harbulot, directeur de […]

    Un ouvrage utile qui accrédite la théorie de l’auteur selon laquelle « le renseignement économique constitue, pour le décideur en entreprise, un indispensable levier de croissance ».

    « Lexique du renseignement, de l’information et de l’influence », de Laurent Jacquet, préface de Christian Harbulot. L’esprit du livre Editions, 125 pages, 15 euros.

    Alain Baron

    En savoir plus :

    http://www.latribune.fr/loisirs/livres-bd/20100401trib000494442/de-l-information-au-renseignement-en-passant-par-l-influence.html

    Les techniques d’influence basées sur des méthodes de psychologie sociale ont toutes quelque chose en commun : elles n’emploient aucune pression physique, morale ou économique pour induire le comportement attendu de la part de celui qui les utilise
    Nicolas Guéguen

    Effectuer une veille de son environnement proche et lointain constitue la base de tout travail d’Intelligence Economique, travail qui intègre le fait de guetter les signaux faibles pour établir des corrélations avec des signaux dits « lourds » pour élaborer une réflexion et une stratégie d’influence. Nous effectuons la plupart du temps un travail centré sur l’observation et l’étude de ces signaux, en oubliant souvent de prendre en compte des facteurs complémentaires qui pourtant sont absolument primordiaux : les facteurs psychologiques et humains. En effet, beaucoup d’entreprises négligent souvent la dimension humaine dans leur politique stratégique et se contentent seulement de rechercher l’information de manière automatisée, sans prendre le temps de s’intéresser à l’ensemble des employés qui pourtant sont souvent détenteurs d’information pertinente et à forte valeur ajoutée. […]

    Par Thomas Bonnecarrere

    En savoir plus :

    http://infoblogwar.blogspot.com/2010/03/limportance-de-la-psychologie-dans-un.html

    Les nouveaux réseaux qui comptent …

    Posté par Arnaud Pelletier le 5 mars 2010

    Par Christophe Barbier

    Les stratégies, les chefs de file, les zone d’influence, les méthodes des réseaux qui comptent aujourd’hui. L’enquête de L’Express.

    « Et pourtant, elles bougent », pourrait lancer un Galilée de la réforme devant le tribunal du conservatisme. Oui, en France, les choses bougent. Pas assez vite, pas assez profondément, mais elles bougent. L’Etat ne parvient pas seul à adapter le pays à la modernité, la politique ne change plus la vie, les capitaines d’industrie ont cédé le pas aux financiers égoïstes, mais les forces vives de la société ne rendent pas les armes. Le pays n’est pas un Titanic ni un radeau de la Méduse, même s’il gîte dans la tempête de la crise, et d’audacieux moussaillons s’affairent sur le pont.

    Certes, les réseaux traditionnels sont toujours aussi prestigieux et puissants. Le Siècle, le club des Cent, le Rotary, la franc-maçonnerie ou les associations d’anciens des grandes écoles demeurent des cénacles essentiels, où les affaires se nouent, où les réformes s’enclenchent (ou s’enterrent), […]

    En savoir :

    http://www.lexpress.fr/actualite/les-nouveaux-reseaux-qui-comptent_852597.html?xtor=RSS-190

    Quelques définitions sur la guerre économique …

    Posté par Arnaud Pelletier le 1 mars 2010

    L’intérêt. L’intelligence économique est sans doute aussi vieille que le troc, mais le terme recouvre des réalités d’autant plus diverses que certaines officines n’hésitent pas à entretenir le flou de ses frontières avec le renseignement, l’information ou l’influence. Trois mondes que les entreprises ne peuvent ignorer, surtout si elles comptent se développer à l’international. Il leur faut savoir prendre leurs précautions, s’entourer, comprendre l’environnement auquel elles s’adressent dans ses dimensions sociale, économique, culturelle, humaine et sécuritaire. Laurent Jacquet, consultant pour des entreprises, banquier, journaliste, apporte quelques définitions simples permettant d’aborder ces sujets.

    […]

    D. MA

    Lesechos.fr

    En savoir plus :

    http://www.lesechos.fr/info/analyses/020325283191-quelques-definitions-sur-la-guerre-economique.htm

    Influence et réputation sur Internet …

    Posté par Arnaud Pelletier le 16 février 2010

    En 2009, le réseau social Facebook a dépassé les 350 millions de membres dans le monde, ; il pourrait doubler en 2010.

    Le site de partage de vidéos YouTube compte fin 2009 plus de 100 millions de membres aux Etats-Unis et la toute jeune plateforme Twitter a dépassé en 2009 le million d’utilisateurs en France.
    Ce succès du Web social dépasse la sphère privée et touche aussi le monde économique. […]
    Xavier de Mazenod et François-Bernard Huyghe ont rédigé (et vous proposons de télécharger gratuitement) un e-book Influence et réputation sur l’Internet, à l’usage des managers désemparés.
    Front Photo

    L’objectif de ce blog créé en 2006, qui n’est pas à proprement parler un blog puisque je ne donne que très peu mon avis, est d’extraire de mes veilles web informationnelles quotidiennes, un article, un billet qui me parait intéressant et éclairant sur des sujets se rapportant directement ou indirectement à la gestion de l’information stratégique des entreprises et des particuliers.
    Depuis fin 2009, je m’efforce que la forme des publications soit toujours la même ; un titre, éventuellement une image, un ou des extrait(s) pour appréhender le sujet et l’idée, l’auteur quand il est identifiable et la source en lien hypertexte vers le texte d’origine afin de compléter la lecture.
    En 2012, pour gagner en précision et efficacité, toujours dans l’esprit d’une revue de presse (de web), les textes évoluent, ils seront plus courts et concis avec uniquement l’idée principale.
    En 2022, les publications sont faite via mon compte de veilles en ligne : http://veilles.arnaudpelletier.com/
    Bonne découverte à tous …


    Arnaud Pelletier

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