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L'espionnage (via les nouvelles technologies) à la portée de tous …

Posté par Arnaud Pelletier le 15 novembre 2010

L’espionnage via les nouvelles technologies, comme les téléphones portables derniers cris, est désormais à la portée de tous.

Détourner des conversations téléphoniques, capter SMS et mails: c’est désormais possible grâce à des logiciels d’écoute en vente sur Internet.

« Il n’est pas légal d’espionner. Ecouter les conversations sur un téléphone appartenant à une autre personne, à son insu, intercepter ses SMS et mails, est hautement répréhensible. Vous encourez des peines pouvant correspondre à plusieurs années de prison selon les législations. » Voilà le client potentiel de la jeune société suisse ProMibs prévenu. Pourtant, cet avertissement, affiché sur le site interne, ne décourage pas les espions en herbe, attirés par le logiciel d’écoute que ProMibs leur propose.

Dans le bureau de Michel Beruben, au bord du lac de Genève, le téléphone sonne sans discontinuer. « ça n’arrête pas, se réjouit l’ingénieur. Nous vendons en moyenne 80 licences d’utilisation par mois en France et une centaine ailleurs. » Installé à Nenagh, en Irlande, Stéphane Gallois commercialise, lui aussi, des programmes de surveillance sous la marque Espion-on-line. « La demande, dopée par la baisse des prix de la technologie, augmente de 20 à 30 % par an », affirme-t-il.

Mode d’emploi des logiciels qui transforment un téléphone mobile en mouchard, pour un coût compris entre 100 et 1 000 euros.

Comment ça marche?

Le logiciel espion doit être téléchargé sur le téléphone « cible ». « L’installation prend entre cinq et trente minutes, selon l’habileté de l’utilisateur », évalue Michel Beruben. Il est donc indispensable d’avoir en main, pendant ce temps, le portable que l’on veut piéger. Ou d’offrir un appareil déjà équipé à la personne visée. Quoi qu’en disent certains sites Internet, il est impossible d’installer un logiciel à distance.

L’insatallation du logiciel espion prend entre cinq et trente minutes, selon l’habileté de l’utilisateur

Quelles sont les précautions à prendre?

[…]

Que peut-on espionner?

[…]

Qui achète ces logiciels espions?

Des hommes et des femmes qui doutent de la fidélité de leur conjoint. Des parents que les fréquentations de leurs enfants préoccupent. Des entreprises que s’inquiètent de la loyauté de leurs salariés. Des services officiels et des officines privées, également. « Nous recevons des mails publicitaires et des offres préférentielles », indique Alain Letellier, secrétaire général de la Chambre professionnelle des détectives privés, qui reconnaît que, « à partir du moment où le matériel existe, certains doivent être tentés de l’utiliser ».

Comment s’en débarrasser?

[…]

Par Anne Vidalie pour lexpress.fr

En savoir plus :

http://www.lexpress.fr/actualite/societe/l-espionnage-a-la-portee-de-tous_936004.html

Google ne veut pas être complice de l'espionnage …

Posté par Arnaud Pelletier le 3 novembre 2010
Alors qu’Apple s’est très rapidement forgé la réputation de contrôler étroitement les applications qu’il laisse passer sur son App Store, Google a toujours eu avec son Android Market une politique beaucoup plus ouverte. La firme de Mountain View censure très rarement les applications proposées pour son système d’exploitation mobile. Or Swithed remarque que Google a changé d’avis concernant une application qu’il avait d’abord acceptée, et qu’il a finalement décidé de rejeter 18 heures plus tard.

Il s’agit de SMS Replicator, un outil qui comme son nom l’indique envoie une copie de chaque SMS reçu ou envoyé à un autre mobile. Lorsqu’il est installé sur un téléphone sous Android, l’application est invisible et ne fait apparaître aucune trace de la copie et de la transmission des messages. Ce qui en fait l’outil parfait pour espionner un petit ami que l’on suspecte d’entretenir une autre liaison, ce dont ne se cache pas la société DLP Mobile à l’origine du logiciel. C’est d’ailleurs le scénario qu’elle a imaginée pour sa publicité diffusée sur YouTube :

Interrogé par le New York Times, le directeur de Zak Tanjeloff avait indiqué que ceux qui étaient inquiets qu’un tiers puisse installer une telle application sur leur téléphone n’avaient qu’à « garder leur téléphone près d’eux, et s’assurer que les gens leur font confiance« .

Google a finalement retiré l’application de l’Android Market, mais rien […]

Par Guillaume Champeau pour numerama.com

En savoir plus :

http://www.numerama.com/magazine/17218-google-ne-veut-pas-etre-complice-de-l-espionnage-entre-amants.html

LES EMAILS ET LES SMS COMME MOYENS DE PREUVE …

Posté par Arnaud Pelletier le 16 septembre 2010

Le courrier électronique vulgairement appelé « email » est devenu le moyen de communication le plus utilisé et par suite, le lieu de prédilection moderne pour les contenus illicites (propos racistes, photos à caractère pédophile, propos diffamatoires ou injurieux), l’instrument privilégié de fraudes informatiques ou encore le moyen d’un manquement à des interdictions ou obligations (usage abusif de la messagerie électronique de l’entreprise) mais surtout le lieu où se trouve la preuve d’un grand nombre de faits ou actes juridiques (preuve de l’adultère, du consentement contractuel, des relations commerciales). Depuis peu, la preuve par SMS a de plus en plus d’occasion à être employée en justice. Ainsi, de manière très intéressante, le législateur et la jurisprudence ont fixé le contour de ces deux nouveaux moyens de preuve.

Nous envisagerons ci-après la situation dans laquelle une personne souhaiterait produire en justice un email ou un SMS qui a été reçu par un tiers et donc qui ne lui a pas été adressé personnellement.

En effet, la réception d’un email ou d’un SMS par cette personne lui permet de les produire en justice à condition de respecter le formalisme de constatation de ces moyens de preuve particuliers.

A cet égard, l’article 1316-1 du Code civil est clair :

« L’écrit sous forme électronique est admis en preuve au même titre que l’écrit sur support papier, sous réserve que puisse être dûment identifiée la personne dont il émane et qu’il soit établi et conservé dans des conditions de nature à en garantir l’intégrité ».

Le fait qu’un courrier électronique puisse être utilisé comme mode de preuve ne fait dès lors pas de doute, à condition qu’il soit signé pour garantir l’intégrité de son contenu et l’identification de son auteur.

De plus, l’article 1316 du Code civil énonce :

« La preuve littérale, ou principe écrit, résulte d’une suite de lettres, de caractères de chiffres ou de tous autres signes ou symboles dotés d’une signification intelligible, quels que soient leur support et leurs modalités de transmission ».

Si les principes du « secret des correspondances » et du respect à la vie privée interdisent la production en justice des emails et des SMS qui ne nous sont pas destinés (I), ce principe comporte cependant des exceptions légales et jurisprudentielles.

[…]

Publié par Anthony Bem, Avocat à la Cour.

En savoir plus :

http://www.documentissime.fr/profil/cabinetbem/article-571-les-emails-et-les-sms-comme-moyens-de-preuve.html

Logiciel espion pour téléphone portable à moins de 2 euros …

Posté par Arnaud Pelletier le 5 mai 2010

Télécharger un logiciel qui permet d´espionner SMS, photos et appels pour seulement deux SMS. Enquête ! Depuis quelques jours, une publicité diffusée sur certains supports [exemple] annonce une petite application pour téléphone portable permettant d’espionner un téléphone mobile. « PIRATE SMS – APPLI DISCRÈTE OFFERTE* Intercepte sur ton mobile les SMS PRIVÉS de tes POTES ! ( + photos, appels, MMS,… ) Envoie par sms ESPION au 88484 * » indique l’encart publicitaire. Derrière cette annonce, la société Mediaplazza (filiale de Jet Multimédia Group) et plus précisément l’une de ses boutiques, le Club ZED. Le service Club Zed est un service pour téléphone mobile exigeant un abonnement. Le coût de ce « service » est de 2 SMS non surtaxés pour s’inscrire puis 2 SMS reçus par semaine facturés 1,5€ (chaque SMS). Des SMS permettant de télécharger 5 produits + 1 jeu. Bref, via sa publicité, ce club proposerait un logiciel d’espionnage pour […]

Logiciel d’espionnage ? Club ZED ne s’amuserait pas à mettre à disposition un outil clairement affiché comme logiciel de piratage. L’espionnage étant illicite et réprimés par la loi, Club ZED ne jouerait pas avec le feu. Pour rappel, le code pénal prévoit jusqu’à 45.000 euros d’amende et un an de prison pour ce type de violation de la vie privée, comme pour celle orchestrée par un keylogger, un cheval de Troie, … La législation française indique clairement qu’il est interdit de « capter, enregistrer ou transmettre, sans le consentement de leurs auteurs, des paroles prononcées à titre privé ou confidentiel« . Un détail que la loi n’a pas prise en compte, si l’utilisation de ce type d’outil est interdite et punie, il n’en va pas de même pour la vente ou pour l’utilisation d’un logiciel espion à l’encontre de son enfant mineur.

« C’est une application concept, souligne à ZATAZ.COM [ecouter ci-dessous, NDR], la société Mediaplazza, C’est une simulation ludique. Comme la lampe torche pour téléphone mobile qui n’est pas une lampe (…) ou le logiciel qui déshabille pour du faux ! C’ est sympa, c’est pour rire« .

Publicité mensongère ?
La loi étant ce qu’elle est, nous nous retrouvons avec une publicité qui annonce clairement proposer un outil d’espionnage. Un logiciel de 007 qui n’est en fait qu’une bonne blague ayant avant tout pour
mission de faire connaitre les services du Club ZED. La publicité trompeuse est une infraction punie (art. L.213-1) […]

Damien BANCAL

En savoir plus :

http://www.zataz.com/news/20185/logiciel–espionnage–telephone-portable–sms–mobile.html

Les 007 du 06 …

Posté par Arnaud Pelletier le 25 mars 2010

par Christophe Alix

L’espionnite via le mobile, c’est très mal mais qu’est-ce que c’est tentant… Dans un récent sondage TNS Sofres pour le compte de l’Association française des opérateurs mobiles (Afom), 80% des personnes interrogées s’offusquaient que l’on puisse espionner les SMS, les messages ou le journal d’appels de ses proches. Ce qui n’empêchait pas plus d’un Français sur quatre (27%) de reconnaître qu’ils avaient déjà cédé à cette peu glorieuse tentation. Le gros souci, c’est que ces apprentis espions risquent d’être de plus en plus tentés. Plus besoin d’attendre que son conjoint soit sous la douche pour fouiller en catimini son mobile. Voici venu le temps de petits logiciels en vente sur la Toile pour quelques centaines d’euros, et parfois moins, qui permettent de surveiller à distance un mobile en écoutant les conversations, interceptant les SMS et les courriels. Avec quelques références en la matière, repérées par le Parisien (du 8 mars) : MM-Pro (300 euros) du suisse Promibs et le pack Spyphone vendu sur Espion-on-Line, un site français basé en Irlande. Installer ces mouchards n’est pas encore totalement un jeu d’enfant, mais il est clair que ces outils hier très onéreux et réservés aux e-007 de l’écoute mobile sont sur la voie d’une démocratisation. Tour d’horizon de ces espions du 06.

Comment ça s’installe ?

Pour pouvoir espionner un mobile, il est indispensable de l’avoir eu en main le temps de lui fourguer le mouchard. Si les services secrets et les polices du monde entier savent comment pirater un mobile à distance, en général avec la collaboration active de l’opérateur, il n’est pas possible pour un particulier d’y parvenir autrement qu’en installant dans la machine un logiciel dont on prendra ensuite soin d’effacer toute trace dans les menus. Cela peut, par exemple, parfaitement se concevoir lorsque c’est l’entreprise qui fournit le téléphone à ses collaborateurs. Conçus pour les smartphones (téléphones intelligents) comme l’iPhone, les Blackberry et plus généralement tous les mobiles disposant d’un minidisque dur (un bon tiers des ventes en France en 2010), ces logiciels nécessitent parfois quelques manipulations un tantinet techniques pour pouvoir fonctionner. Dans le cas des iPhone, il faut d’abord « jailbreaker » (déverrouiller) le mobile afin qu’il puisse accepter le programme. Opération délicate mais que certaines boutiques exécutent facilement moyennant finance. Dans le cas d’autres « environnements » plus ouverts, comme pour les téléphones fonctionnant sous les systèmes Symbian (Nokia) ou Windows Mobile, les protections sont moindres et l’opération moins complexe.

Que peut-on espionner ?

[…]

À qui s’adressent ces logiciels et où les trouve-t-on ?

[…]

Sont-ils légaux ?

[…]

Cette espionnite se limite-t-elle aux mobiles ?

[…]

Paru dans Libération du 16 mars 2010

En savoir plus :

http://www.ecrans.fr/Les-007-du-06,9438.html

Espionnage des téléphones portables, le vrai du faux …

Posté par Arnaud Pelletier le 9 mars 2010


Une fois installé sur le téléphone, le logiciel dissimule sa présence, mais enregistre ce qui se passe sur la machine, et en envoie des copies à la personne qui a installé le programme.

Une fois installé sur le téléphone, le logiciel dissimule sa présence, mais enregistre ce qui se passe sur la machine, et en envoie des copies à la personne qui a installé le programme.

Le Parisien a testé un logiciel d’espionnage de téléphones portables, disponible à la vente sur Internet. Pour quelques centaines d’euros, ces logiciels permettent d’écouter des conversations ou de consulter des SMS à l’insu du propriétaire du téléphone. Faut-il pour autant tomber dans la paranoïa ?

Peut-on espionner mon téléphone portable ?

Oui. Des logiciels le permettant existent depuis plusieurs années. Il s’agit de logiciels-espions, similaires aux virus de type cheval de Troie (« trojan ») dont le fonctionnement est bien connu sur PC. Une fois installé sur le téléphone, le logiciel dissimule sa présence, mais enregistre ce qui se passe sur la machine, et en envoie des copies à la personne qui a installé le programme. On peut ainsi obtenir une copie de tous les SMS envoyés par l’appareil, du journal des appels, ou même, pour les programmes les plus sophistiqués, écouter les conversations ou transformer le téléphone en micro pour enregistrer les conversations dans une pièce.

Est-ce légal ?

Pas du tout. Espionner le téléphone portable d’un tiers est une atteinte à la vie privée. Le code pénal prévoit que l’enregistrement des paroles sans le consentement, tout comme la violation du secret de la correspondance, sont punis d’une peine d’un an de prison et d’une amende de 45 000 euros.

Tous les types de téléphones sont-ils piratables ?

Presque. Tous les logiciels-espions ne fonctionnent pas sur tous les modèles, mais […]

Les SMS recevable devant les tribunaux

Posté par Arnaud Pelletier le 16 avril 2009

SMS RECEVABLE

SMS RECEVABLELes nouvelles technologies bousculent la loi française.

En matière civile, on rappellera tout d’abord que les juridictions déclarent par principe irrecevables les moyens de preuve obtenus de manière déloyale.

Par un arrêt du 7 octobre 2004, la 2ème chambre civile de la Cour de cassation avait ainsi énoncé, au double visa des articles 9 NCPC et 6 CESDH, que « l’enregistrement d’une conversation téléphonique privée, effectué à l’insu de l’auteur des propos invoqués, est un procédé déloyal rendant irrecevable en justice la preuve ainsi obtenue » (cf. Cass. civ. 2, 7 octobre 2004, GP 31 décembre 2004, p.9 note B. de Belval).

De fait, l’enregistrement d’une conversation téléphonique privée est un procédé à tout le moins déloyal puisqu’il est de nature à constituer également le délit d’atteinte à la vie privée prévu et réprimé par les dispositions de l’article 226-1 du Code pénal.

Par un récent arrêt du 23 mai 2007 publié au Bulletin, la chambre sociale de la Cour de cassation a reconnu la recevabilité des SMS comme moyen de preuve (cf. Cass. soc. 23 mai 2007, pourvoi n° 06-43.209, JCP G n° 30, 25 juillet 2007, II 10140, commentaire L. Weiller).

Dans sa décision, la chambre sociale a estimé que : « si l’enregistrement d’une conversation téléphonique privée, effectué à l’insu de l’auteur des propos invoqués, est un procédé déloyal rendant irrecevable en justice la preuve ainsi obtenue, il n’en est pas de même de l’utilisation par le destinataire des messages écrits téléphoniquement adressés, dits SMS, dont l’auteur ne peut ignorer qu’ils sont enregistrés par l’appareil récepteur ».

En conclusion, il est tout à fait possible de faire constater tous sms par un huissier afin que ces derniers soient utilisables devant les tribunaux.

Il existe également le même principe de recevabilité en matière pénale.
(art.427 du code de procédure pénale. cf. par exemple Cass. crim. 31 janvier 2007 ; Bull. n° 27 / cf. Cass. crim. 24 avril 2007 ; pourvoi n° 06-88.051)

Infos du 26/03/09

Posté par Arnaud Pelletier le 26 février 2009

La contrefaçon dans les produits high-tech explose :

Du secret défense à la défense des secrets d’Etat :
La recherche de personnes par Base Elèves :
La reconnaissance faciale, c’est bidon :
Que fait un Juge de proximité ? :

Reportage: comment Microsoft évalue les menaces sur Internet » :

En savoir plus sur le « pantouflage » :
Justice

Proposition de loi Béteille : vers la fusion avocats-CPI et la création de la convention de procédure participative assistée par avocat

Les divorces prononcés de 1996 à 2007
Lire le document (format pdf) :

Le juge d’instruction vu par un avocat (parmi d’autres) :
Manifestations
3° forum international sur la cybercriminalité :

L’objectif de ce blog créé en 2006, qui n’est pas à proprement parler un blog puisque je ne donne que très peu mon avis, est d’extraire de mes veilles web informationnelles quotidiennes, un article, un billet qui me parait intéressant et éclairant sur des sujets se rapportant directement ou indirectement à la gestion de l’information stratégique des entreprises et des particuliers.
Depuis fin 2009, je m’efforce que la forme des publications soit toujours la même ; un titre, éventuellement une image, un ou des extrait(s) pour appréhender le sujet et l’idée, l’auteur quand il est identifiable et la source en lien hypertexte vers le texte d’origine afin de compléter la lecture.
En 2012, pour gagner en précision et efficacité, toujours dans l’esprit d’une revue de presse (de web), les textes évoluent, ils seront plus courts et concis avec uniquement l’idée principale.
En 2022, les publications sont faite via mon compte de veilles en ligne : http://veilles.arnaudpelletier.com/
Bonne découverte à tous …


Arnaud Pelletier

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